Centre aéré de Nîmes : suspicions de viol pour un directeur
À Nîmes, c’est la stupeur, un directeur de centre aéré est soupçonné de viol. L’établissement date de 1837 et il est géré par cet homme depuis un an. Il est en détention provisoire.
Alors que les départs en vacances sont nombreux, des familles font le choix d’inscrire leurs enfants dans un centre aéré. L’affaire qui se déroule à Nîmes devrait favoriser les inquiétudes des parents. L’établissement qui était géré par des prêtres jusqu’à ce que la direction soit confiée à des pensionnaires selon Objectif Gard se retrouve au cœur d’une dramatique histoire de viol et d’agressions sexuelles. Les faits se seraient déroulés sur des mineurs de moins de 15 ans et le suspect est en détention provisoire.
Le suspect placé en détention provisoire à Nîmes
Aujourd’hui, nous avons également appris qu’un bébé âgé de 19 mois aurait été violé et battu par l’amant de sa mère. Ce dernier entendrait des voix et il serait passé à l’acte dimanche dernier à Saint-Priest, une ville située dans l’agglomération lyonnaise dans le Rhône. En ce qui concerne l’affaire de Nîmes, elle se déroule au centre Œuvre Argaud et le placement en détention a été réalisé la semaine dernière selon Midi Libre qui révèle que l’individu serait passé partiellement aux aveux.
Le centre aéré à Nîmes est confié pour l’instant à un salarié
En effet, le quinquagénaire précise qu’il n’aurait pas violé une fillette, mais il aurait toutefois été l’auteur d’attouchements. Les parents de la petite victime ont porté plainte et les enquêteurs doivent faire la lumière sur ce dossier et comme c’est le cas dans ce genre d’affaires trouver éventuellement d’autres victimes. Le gestionnaire du centre aéré, l’association Jeanne d’Arc est effondrée. Le journal rapporte les propos de son président qui affirme avoir pris un coup de massue alors que le centre aéré est reparti de zéro en 2012. La direction a été confiée pour l’instant à un salarié.
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