Emile : le prêtre qui l’a baptisé s’est suicidé le 15 mars – Claude Gilliot est-il impliqué dans l’affaire ?
Un drame dans l’ombre d’une disparition
L’affaire de la disparition du petit Émile Soleil a pris une tournure tragique le 15 mars dernier. Claude Gilliot, le prêtre qui avait baptisé l’enfant, a mis fin à ses jours. Cet islamologue reconnu et professeur émérite de l’Université d’Aix-Marseille a laissé une lettre d’adieu bouleversante, où il exprime son amour à sa famille et ses dernières volontés.
Une relation forte avec la famille Soleil
Le prêtre entretenait une relation étroite avec la famille d’Émile. Les parents et grands-parents du petit étaient impliqués dans la chorale des Pénitents gris d’Aix-en-Provence, une chapelle connue pour ses célébrations aux rites traditionnels.
Cependant, un événement a bouleversé cette relation : Claude Gilliot aurait transmis à la presse une photo d’Émile et de ses parents. Ce geste a été perçu comme une trahison par la famille Soleil, qui a alors pris ses distances avec lui et boycotté la chapelle.
Un conflit qui a pris de l’ampleur
Le climat s’est dégradé jusqu’à un échange d’insultes entre le prêtre et le grand-père d’Émile. Actuellement, ce dernier, sa femme et deux autres membres de la famille sont en garde à vue. Ce contexte tendu semble avoir pesé lourdement sur Claude Gilliot.
Sa sœur, Claudine Vandenbroucke, exprime aujourd’hui son incompréhension et sa colère : « J’en veux énormément à la famille du petit Émile, parce que je pense que tout est parti de chez eux. »
Une fin marquée par une lettre poignante
Dans sa lettre d’adieu, le prêtre laisse un message fort : « L’amour seul compte. Annoncez l’Évangile. ». Il a souhaité que sa famille soit prévenue et a exprimé son affection pour ses proches.
Ce drame soulève de nombreuses questions sur l’impact des tensions et des conflits sur les équilibres psychologiques. L’affaire Émile continue de secouer l’opinion publique, et le suicide de Claude Gilliot vient ajouter une dimension tragique à cette histoire déjà bouleversante.
Laisser un commentaire