La disparition d’Inès relève d’une sordide histoire qui fait froid dans le dos. Le parquet de Nanterre a procédé à une mise en examen.

Police

Police

Une jeune fille prénommée Inès faisait l’objet d’une disparition, mais l’histoire s’est révélée être glaçante. Le parquet de Nanterre a décidé de procéder à une mise en examen, car un couple est concerné par les faits. De ce fait, il encourt jusqu’à 10 ans de prison, car la disparition était liée à du proxénétisme aggravé. Un homme et une femme qui se trouvent dans les Hauts de Seine seraient donc responsables des faits sordides et l’individu serait connu défavorablement des forces de l’ordre.

La disparition d’Inès enregistrée après un contact sur Facebook

En ce qui concerne cette femme, elle se prostituerait. Le malheur d’Inès aurait commencé sur les réseaux sociaux et il faut être extrêmement vigilant sur Facebook, Twitter autres plateformes de ce type. Si une utilisation peut s’avérer intéressante, une autre peut se transformer en cauchemar, car toutes les personnes qui surfent n’ont pas de bonnes intentions. Certaines recrutent pour le djihad, d’autres pour les sectes ou encore des réseaux de drogues et de prostitution. Selon la radio France Bleu, le couple aurait donc communiqué avec la jeune femme par le biais d’une plateforme et notamment Facebook.

Inès a été forcée de se prostituer à Paris

Le 24 mars dernier, la disparition d’Inès commence puisqu’elle prend le train en direction de Paris selon la radio. Par conséquent, elle a été aux côtés de ce couple pendant plus d’un mois. Cet homme et cette femme ont effectué un changement chez Inès puisqu’elle a eu les cheveux coupés et sa chevelure a également été teinte. Inès a été contrainte de se prostituer et la mère de cette dernière a décidé de porter l’affaire devant les tribunaux au vu de leur gravité. Comme le mentionne la radio, l’instruction pourrait toutefois durer plus de 12 mois avant qu’un verdict ne soit rendu.

À lire  Accueil des migrants : 56 % des Français se prononcent en défaveur des réfugiés

Crédit Photo : Wikimédia – Rama