La Californie, état situé à l’ouest des États-Unis, enregistre sa cinquième année consécutive de sécheresse. véritable cauchemar avec une surexposition à un mercure des plus élevés et la fragilisation de remparts végétaux. Ces deux facteurs conjugués favorisent l’expansion d’incendies aux proportions effarantes et récurrents (c’est le huitième au cours de cette année et il a hérité du nom de baptême de « Sand Fire »). Suivez bien notre approche surtout factuelle.

Une mobilisation courageuse de pompiers mais la priorité est accordée l’évacuation sécurisante

À Santa Clara, ville située dans la région de la baie de San Francisco, les flammes sont à quelques mètres à peine de la plupart des habitations et les citoyens luttent, à leur échelle microscopique, contre la démesure du brasier qui est qualifié comme étant « hors contrôle » par les autorités. Elles ne cachent pas leur impuissance mais campent sur leurs positions pour encercler et éteindre pareil incendie. Pour les autorités, la priorité est d’extirper, pour l’heure, 1 500 citoyens, à un piège capable se se refermer sur eux.

L’incendie a déjà ravagé 13 000 hectares et la lutte à l’issue espérée heureuse passe aussi par les airs

Sur plus de 13 000 hectares (superficie ravagée appelée à sans doute s’accroître), les terres rocailleuses de Californie brûlent sous les yeux des pompiers, soldats du feu qui se sentent désarmés, malgré un déploiement d’hommes des plus impressionnants et une logistique bien orchestrée. Le combat au sol ayant révélé une efficacité négligeable, c’est dans les cieux que l’âpre combat contre le feu se poursuit. L’incendie a atteint des d’habitations, à 65 kilomètres au nord-ouest de Los Angeles, la mégalopole californienne.