Il y a deux ans, le monde était rythmé par les prévisions des Mayas. Ainsi, la fin du monde était annoncée pour le mois de décembre 2012 et certains n’avaient pas hésité à se construire un bunker ou un abri sous terrain. L’étude de la Nasa ne révèle pas une tempête solaire qui aurait pu détruire notre planète ou encore la chute d’un astéroïde sur la Terre. L’Agence Spatiale américaine a regardé avec attention les habitudes des humains et l’étude partagée prévoit la fin du monde dans quelques décennies. Dans le Guardian, vous pouvez découvrir les propos du centre de vols spatiaux Goddard : « La rareté des ressources provoquées par la pression exercée sur l’écologie et la stratification économique entre riches pauvres ont toujours joué un rôle central dans le processus d’effondrement« .

La Nasa utilise le modèle Handy

L’inégalité observée entre les peuples et les ressources naturelles qui sont malmenées par les humains conduiront à l’extermination de notre civilisation, comme ce fut le cas pour les Romains ou encore les Mayas. Pour arriver à cette conclusion concernant la fin du monde, les chercheurs de la NASA ont utilisé le Human and Nature Dynamical, qui est un modèle permettant de rassembler toutes les raisons qui ont entrainé la chute des civilisations. L’Agence Spatiale américaine a donc proposé deux scénarios :

1. La disparition des pauvres à cause des élites qui s’accaparent les richesses et qui décèderont en dernier.
2. L’épuisement total des ressources à cause d’une surconsommation générale.

La chute est inévitable ?

Les chercheurs de la Nasa espèrent que ces théories ne se confirmeront pas, car elles se traduiront par une fin du monde causée par l’Homme. Ils gardent également espoir en notre civilisation qui possède les compétences nécessaires pour utiliser les dernières technologies pour améliorer le quotidien tout en réduisant cette consommation.