Dans l’Essonne et plus précisément le village de Saint-Maurice-Montcouronne, un mystérieux phénomène se produit avec l’invasion de coléoptères. Ces derniers sont plus d’un millier.

Les coléoptères dans l’Essonne / Crédit Photo : Capture écran

Dans l’Essonne, les habitants de ce petit village font connaitre leur épuisement face à cette invasion qui ne cesse pas. Ces coléoptères ne sont pas nocifs pour la santé et ils ne piquent pas. Toutefois, il y a un point négatif que toute la population a pu relever et il s’agit de l’odeur. Cette dernière est forte et elle est dégagée lorsque la petite bête est écrasée. Le phénomène étonne tout le monde que ce soit les employés de la mairie ou les habitants de Saint-Maurice-Montcouronne. Au départ, le mystère planait concernant le nom de ces insectes qui seraient en réalité des coléoptères.

Des habitants de l’Essonne sont exaspérés par les coléoptères

Depuis le 10 juillet, l’invasion a commencé et ils ne se présentent pas par dizaine dans les maisons. En réalité, certains habitants ont pu comptabiliser plusieurs centaines de coléoptères dans les habitations sans avoir une seule solution pour se prémunir ou les éradiquer. La population s’est donc confiée au Parisien et elle partage son désarroi face à cette invasion massive qui fait l’objet d’une vidéo. Cette dernière montre ces familles de coléoptères qui jonchent les sols, les piscines ou encore le jardin et les maisons.

Les coléoptères étaient auparavant traités par l’ancien propriétaire

Toutefois, les aspects négatifs ne sont pas référencés par les agriculteurs ou du moins ceux qui possèdent un potager. En réalité, ils mettraient en avant une réelle qualité du milieu, mais les habitants sont exaspérés de se réveiller tous les matins et de devoir écraser des centaines de coléoptères qui dégagent une odeur nauséabonde. Ce problème ne serait pas inédit, car il se serait déjà produit à la même période l’année dernière. Toutefois, il y a deux ans, il n’y avait pas d’invasion, car le propriétaire d’un champ voisin qui est désormais parti effectuait le traitement.