Enrico Macias est un chanteur très apprécié par de multiples générations et même l’un des plus importants terroristes, Oussama Ben Laden était sans doute un passionné. En effet, il détenait une collection de ses musiques.
Enrico Macias / Crédit Photo : Wikipédia – Ilan Costica
Généralement, les artistes sont heureux lorsque leurs chansons traversent les décennies et les frontières. Toutefois, toutes les écoutes ne sont pas flatteuses et Enrico Macias a quelque peu été gêné d’apprendre que Ben Laden possédait des cassettes avec ses musiques. Ce chanteur, musicien, acteur et compositeur a marqué des générations avec des titres phares. Issu d’une famille où son père était violoniste, il a pris le chemin de la musique, mais il a fait quelques apparitions au cinéma et elles ont toujours été réussies.
Parmis les 1500 cassettes, Ben Laden avait celles d’Enrico Macias
Enrico Macias a donc été vu dans Nos chers Voisins ou encore Scènes de ménages en ce qui concerne le petit écran. Les spectateurs ont pu le découvrir dans le second opus de la Vérité si je mens, Coco et même dans Bienvenue à bord. Cette affaire a été relayée par la BBC qui révèle que Ben Laden possédait à son domicile des cassettes d’Enrico Macias, mais sur les 1500 supports, la musique n’était pas le seul thème. En effet, celui qui a orchestré les attentats du 11 septembre et qui a été au centre de la plus grande chasse à l’Homme avait des sermons ainsi que des discours prononcés par plus de 200 orateurs.
Enrico Macias a douté de la véracité de cette affaire sur Oussama Ben Laden
Le journal qui partage des photos de la collection d’Oussama Ben Laden révèle que les thèmes étaient très variés et toutes les cassettes ont fait l’objet d’un classement. L’analyse a été minutieuse et réalisée par l’Afghan Media Project installé aux États-Unis dans le Massachusetts. France TV Info a eu la possibilité de recueillir la réaction d’Enrico Macias et il est quelque peu gêné par cette affaire. Il a même cru pendant un certain temps qu’il s’agissait d’une blague, car il faut savoir que le terroriste interdisait l’écoute de la musique.
