Aujourd’hui, on va parler d’un sujet que, avouons-le, nous avons tous abordé au moins une fois devant notre miroir un lundi matin : comment justifier de ne pas aller au travail sans que notre réputation ne se transforme en légende urbaine douteuse.
Si vous pensez que la bonne vieille « panne de réveil » est encore crédible, restez avec moi ; vous êtes sur le point de devenir un maître de l’excuse… avec parcimonie, bien sûr.
La maladie pour ne pas aller au travail
Ah, la maladie, ce pilier des excuses pour ne pas pointer au bureau. « Désolé, je me sens mal, je pense que j’ai attrapé ce truc qui traîne. » Parfaitement vague, difficilement contestable, surtout si vous avez le talent d’acteur pour appuyer un léger grognement de douleur. Mais attention, l’art réside dans la subtilité : invoquer la peste bubonique pourrait soulever quelques sourcils.
Problèmes de transport : la roulette russe des justifications
« J’ai raté mon bus » ou « Ma voiture a décidé de faire une grève impromptue » sont des classiques. Toutefois, à l’ère du télétravail, cette excuse commence à perdre de sa superbe. Mon conseil ? Gardez cette carte pour les jours de grandes catastrophes naturelles… ou au moins pour quand il pleut des cordes.
Rendez-vous médical pour ne pas aller au travail
Rien ne dit « je ne peux pas l’annuler » comme un rendez-vous chez le médecin. C’est l’excuse parfaite pour ne pas aller au travail, à condition de ne pas en abuser. Après tout, combien de contrôles dentaires peut-on avoir dans un mois avant que votre boss ne commence à se demander si vous ne vous êtes pas reconverti en dentiste ?
Les urgences familiales : jouer la carte de l’émotion
« Un problème familial soudain » est une excuse qui, généralement, coupe court à toute interrogation. C’est le joker des excuses. Mais gare à ne pas en abuser ; votre entourage fictif ne peut décemment pas traverser une crise par semaine sans éveiller des soupçons.
Utiliser une excuse pour ne pas aller au travail est un art délicat. Il s’agit de trouver le juste milieu entre crédibilité et fréquence. Rappelez-vous, votre réputation est en jeu à chaque « je ne me sens pas bien » envoyé à votre supérieur. Non seulement il est important de varier vos excuses, mais il est crucial de les utiliser avec parcimonie.
Si vous devez recourir à l’une de ces justifications, assurez-vous qu’elle soit plausible. Et si tout le reste échoue, peut-être qu’une carrière en tant qu’auteur de fiction pourrait être plus adaptée. Après tout, qui d’autre qu’un créatif peut inventer une telle variété d’excuses pour échapper à la réalité du travail ?
Les excuses pour ne pas aller au travail sont comme les épices : à utiliser avec parcimonie pour ne pas gâcher le plat principal. Et maintenant que vous êtes armé de justifications crédibles, puissiez-vous naviguer dans les eaux troubles de l’absentéisme avec sagesse… ou, mieux encore, trouver un travail qui vous fait sauter du lit chaque matin !
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