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Le lobby de la fête du 1er janvier

1er janvier

C’est une date spéciale pour de nombreuses cultures à travers le monde. Elle représente la fin d’une année et le début d’une autre. Fêter cette nouvelle année naissante, est-ce devenu ringard au fil du temps ? Il faut bien se l’avouer, c’est bien lorsque l’on a vingt ans et que l’on croit encore naïvement que les choses peuvent évoluer en mieux. Avec l’âge, on se rend vite compte que la nouvelle année sera peut-être pire que l’ancienne. C’est l’occasion de boire plus que de raison, une façon d’enterrer cette année qu’il faut oublier.

La célébration du 1er janvier

Elle remonte à environ 4000 ans, à l’époque de la Mésopotamie. Aujourd’hui, le 1er janvier, c’est l’occasion de se réunir, de fêter cette nouvelle année en espérant qu’elle soit meilleure que la précédente. À travers le monde, on célèbre la nouvelle année avec des feux d’artifice, différentes traditions afin de chasser les mauvais esprits et accueillir l’espoir.

Chaque nouvelle année, des millions de personnes prennent des résolutions qu’elles ne tiendront pas. En Espagne, on mange 12 grains de raisin pour chaque coup de minuit. En Italie, les lentilles apportent richesse et prospérité. Au Japon, c’est l’occasion de nettoyer la maison pour la débarrasser des mauvais esprits. En France, on boit plus que de raison pour enterrer l’année passée et accueillir la nouvelle en espérant qu’elle soit meilleure.

Une tradition quelque peu dépassée

Le 31 au soir, on se prépare, on organise un bon repas et à minuit on s’embrasse en partageant des vœux de bonheur, de prospérité et de santé. Feux d’artifices, réunions familiales, alcool, on célèbre cette nouvelle année avec tous ces éléments incontournables. Cette fête que l’on s’impose pour ne pas être ringard vis-à-vis des autres reste une obligation pour de nombreuses personnes.

C’est à celui qui rivalise d’imagination pour organiser une fête hors du commun, mais en réalité, on n’y croit plus tellement. Les années passent avec leurs lots de désillusion, de déboires et parfois de bonheur. Le 1er janvier est un jour comme les autres.

La rédaction est une passion qui me permet de m’exprimer et d’informer. J’ai fais des études d’ingénieur et je tente de m’évader à travers l’écriture en espérant que ma spécialisation dans l’actualité vous convienne.

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