Jusqu’à lors, cette transmission par voie sexuelle de la femme à l’homme était plutôt considérée comme possible, mais aucun cas n’avait pu encore justifier ces soupçons. Les derniers évènements viennent étayer cette éventualité, une jeune femme aurait contaminé son partenaire suite à un rapport sexuel vaginal, des faits rapportés par les centres de contrôle, de préventions des maladies d’Atlanta. Le vecteur principal de cette transmission du virus Zika reste la piqûre du moustique tigre. Les experts s’attendaient tôt ou tard à cette information.
La transmission de Zika peut-être favorisé par les menstruations
Les autorités sanitaires ont indiqué que la jeune femme aurait transmis le virus Zika à son partenaire à son retour d’un séjour où ce virus est considéré comme actif. Les médecins expliquent qu’avec les maladies sexuellement transmissibles, le risque de contamination est plus élevé d’un homme à une femme, mais dans ce cas précis, la jeune femme devait être au début de sa période menstruelle au moment du rapport. Le partenaire a dû être en contact avec de faibles particules de sang ce qui a favorisé la transmission du virus. Les centres de contrôle insistent sur le fait que le port du préservatif reste un moyen fiable pour se protéger du virus Zika.
Un cas d’infection sur le sol américain
Il faut rappeler qu’il est pour la plus grande majorité de la population bénin, mais il peut également provoquer des défauts du développement du fœtus. Il est également responsable de microcéphalies. Des moustiques tigre porteurs du virus pourraient selon les dernières informations être arrivés sur le territoire américain, les autorités sanitaires de Floride ont déclaré au début de semaine qu’elles étudiaient un cas d’infection local de ce virus.
Vers une arrivée massive aux Etats-Unis
Au premier abord, il n’aurait pas été contracté par une personne ayant voyagé dans une zone touchée par le virus. L’Organisation mondiale de la Santé s’attend à une propagation importante aux USA, au Brésil. Plus de 1,5 million de personnes ont déjà été recensées. Les chercheurs sont toujours à la recherche d’un vaccin.
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