Un Français de l’Etat Islamique est dans la ligne de mire des USA qui a décidé de placer cet individu sur une liste spécifique.
Drapeau de l’Etat Islamique
Un Français de l’Etat Islamique suscite la crainte et c’est pour cette raison qu’il a été placé sur la liste noire des USA. Il faut noter que depuis plusieurs semaines, le Daesh rythme malheureusement l’actualité des médias internationaux à cause des décapitations. La France n’a pas été épargnée puisque Hervé Gourdel a perdu la vie la semaine dernière alors qu’il effectuait un trek en Algérie. Auparavant, deux journalistes américains et un humaniste britannique ont également été décapités. Une traque est donc orchestrée et les frappes aériennes sont référencées en Irak ou en Syrie.
Ce Français de l’Etat Islamique déjà condamné en France
Ce Français de l’Etat Islamique se prénommerait Salim Benghalem. Ce dernier serait originaire du Val-de-Marne à Cachan et il ferait donc partit de cette organisation qui sème la terreur. Washington considère cet homme qui aurait plus de 30 ans comme dangereux et cela lui a donc valu une inscription aux Specially Designated Global Terrorists. Les USA qui enquêtent révèlent qu’il effectue des exécutions au nom de ce groupe en Syrie. Ce n’est pas la première fois qu’il serait dans le collimateur des autorités notamment françaises. En effet, il avait été reconnu coupable en 2001 et il avait effectué une peine de prison de 9 ans pour le meurtre d’un jeune homme qui résidait à Cachan dans le Val-de-Marne.
Un Français de l’ISIL n’aurait pas de haine envers la France
Ce Français membre de l’Etat Islamique et basé en Syrie fait donc l’objet d’un mandat d’arrêt européen à cause de ses relations avec l’ISIL. La liste noire des USA est assez longue puisque plusieurs personnes sont considérées comme dangereuses à cause de leur appartenance à ce groupe. Une grande majorité des individus est basée en Syrie. Toutefois, cette inscription reste surprenante pour l’avocat de ce Français qui s’est exprimé sur Europe 1. Il a révélé que son client n’avait pas fait état d’une haine envers la France ou d’un discours « particulièrement religieux ».
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