Entraîneur de hand : 813 sextos destinés à une mineure

par | 11 Juin 2023

Un entraîneur de hand a envoyé 813 sextos à une mineure âgée seulement de 15 ans. Ce nombre a été obtenu en moins de deux mois.

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Cet entraîneur de hand évoluait au club de Neuvy-le-Roi situé en Indre-et-Loire. Il y a deux ans, il communiquait avec l’une de ses joueuses âgée de 15 ans. La messagerie de cette dernière avait donc été inondée à l’époque par 813 SMS. Ces derniers n’étaient toutefois pas des messages classiques puisque l’entraineur de hand était à l’origine de propositions sexuelles. Les faits se sont produits en 2012, mais l’affaire a été jugée au début de la semaine à savoir lundi.

Un entraîneur de hand condamné pour avoir envoyé 813 sextos

L’entraîneur de hand âgé de 45 ans a été condamné par le tribunal correctionnel de Tours. Ce dernier a précisé lors de l’audience qu’il n’avait pas le droit de rencontrer la mineure de cette affaire ni d’autres personnes âgées de moins de 18 ans. Il n’a pas l’autorisation de rencontrer la famille de la jeune fille selon une précision de Ouest-France et la justice l’a contraint à suivre des soins. De plus, le tribunal correctionnel de Tours a demandé une inscription au fichier des auteurs d’infractions sexuelles. Enfin, l’audience s’est terminée avec le verdict et l’entraîneur de hand a été condamné à un an de prison donc six mois avec sursis.

L’entraîneur de hand a une obligation de soins

Ce quadragénaire devra donc purger une peine ferme de six mois dans cette affaire de 813 sextos. Cette condamnation peut paraître assez sévère, mais il faut noter que l’entraîneur de hand était déjà connu de la justice selon une précision de France 3 qui ne donne pas davantage d’informations concernant la ou les précédentes affaires. En ce qui concerne le fichier des auteurs d’infractions sexuelles, certaines dispositions sont prises puisque la personne doit justifier d’une adresse tous les ans et les modifications doivent être apportées tous les 15 jours. Les individus impliqués dans des infractions plus graves doivent justifier d’une adresse tous les six mois en se rendant à la gendarmerie ou au commissariat.

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Rédigé par Jade Bernard

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