Le MH370 n’est toujours pas résolu même si la piste du crash s’éclaircit. À La Réunion, les recherches sont stoppées alors qu’un débris a été retrouvé il y a quelques jours. Le mystère est toujours d’actualité.
Malaysia Airlines / Crédit Photo : Wikipédia – Laurent ERRERA
Dans le monde de l’aviation, le vol MH370 est sans doute l’énigme la plus complexe à résoudre. Plusieurs hypothèses ont été énoncées concernant un détournement, un crash, un missile à cause d’une approche d’une île militaire… Jusqu’à maintenant, les familles des victimes n’avaient pas la possibilité de faire leur deuil sans la preuve tangible que le vol de la Malaysia Airlines s’était crashé.
C’est la fin des recherches à la Réunion pour le MD370
Le débris du vol MH370 a été retrouvé sur une plage de la Réunion, ce qui met fin à toutes les spéculations concernant le fait que l’avion ne s’était pas crashé. En retrouvant de telles pièces, il y a malheureusement très peu de chances de retrouver le Boeing et donc les passagers qui ont été déclarés morts quelques semaines après le drame. Le 7 août dernier, les recherches intensives étaient mises en place pour tenter de retrouver d’autres débris, mais le résultat n’a pas été celui escompté. Ces quelques jours durant lesquels un avion a pu survoler une zone précise n’ont pas permis de résoudre un peu plus le mystère.
Pourquoi le débris du MH370 est-il le seul ? Mystère !
Il a désormais été décidé de mettre un terme aux recherches et cela depuis le 17 août. Toutefois, une surveillance active est toujours d’actualité, car d’autres débris pour être retrouvés dans les prochaines semaines par hasard comme ce fut le cas pour les précédents. Sur Internet, les théories du complot font toujours la Une des réseaux sociaux et certains trouvent assez bizarre que le débris retrouvé soit le seul, car un Boeing 777 a une taille très importante. Même si quelques réponses ont été apportées, l’énigme en elle-même n’a pas été élucidée et il faudrait retrouver les boîtes noires pour obtenir quelques informations concrètes.
