Plusieurs spécialistes ont décidé à l’occasion de cette journée contre les nuisibles de s’intéresser de plus près à un tout petit insecte, la punaise de lit qui malheureusement revient en force dans nos draps. Elles se nourrissent du sang des humains durant leur sommeil. Elles sont la conséquence de nombreux boutons, de démangeaisons très importante. Les punaises de lit ont été éradiquées en 1950 grâce à plusieurs pesticides aujourd’hui interdits à la vente notamment pour des raisons environnementales, d’où leur retour dans nos literies. Peut-on vraiment s’en débarrasser ?
Les punaises de lit peuvent avoir des conséquences plus que fâcheuses sur la santé et la vie quotidienne des personnes touchées
Les punaises de lit sont visibles à l’œil nu, c’est un premier point non négligeable. Leur taille s’apparente à celle d’un pépin de pomme aplati soit environ 4 à 7 mm de long. Elles ne sautent pas, ne volent pas, elles vivent 5 à 6 mois et sont actives la nuit, elles fuient la luminosité. Plus l’infection est importante, plus les punaises de lit se déplacent vers d’autres endroits de la maison. Elles peuvent s’introduire partout dans les demeures, les hôtels les plus propres. Elles se propagent par contact avec l’objet infecté, lors d’un transport d’articles également souillés, par les murs, les plafonds, les câbles électriques, les draps, les vêtements, lors de ramassage de meubles dans la rue, pendant les voyages. La punaise de lit est l’un des plus anciens parasites de l’homme, les archéologues en ont trouvé dans des tombes Égyptiennes vieilles de plus de 3350 ans.
Les punaises de lit ne sont pas porteuses d’aucune maladie transmissible à l’homme, c’est plutôt une bonne nouvelle
Les piqûres sont très désagréables, elles provoquent des démangeaisons insupportables, parfois des plaies apparaissent qui éventuellement peuvent s’infecter. Le manque de sommeil est aussi une conséquence, on est réveillé de multiples fois, les nuits sont interrompues par l’inconfort des démangeaisons. Affronter le regard des autres est aussi compliqué, les traces de piqûres sont une déstabilisation psychologique. Comment dire que chez soi, on est infesté de punaises de lit, c’est la honte, la culpabilité. D’après les spécialistes, cette recrudescence est expliqué en partie par notre mode de vie, à notre sédentarité. Les punaises de lit ont ainsi tout le loisir de s’installer dans nos lits, nos canapés. La chambre syndicale désinfection, désinsectisation et dératisation recense plus de 200.000 sites infectés en France. Contrairement aux cafards, la punaise de lit n’est pas associée à un problème d’hygiène. Les produits achetés en grande surface se révèlent être souvent inefficaces, il faut se montrer patient, plusieurs traitements sont souvent nécessaires pour se débarrasser de ce parasite.
Comment se débarrasser de ces insectes ?
Les punaises de lit ne sont pas forcément liées à un manque d’hygiène, elles sont surtout attirées par l’humidité. Cet environnement est donc propice à leur développement, il n’est pas surprenant qu’elles se multiplient dans les lits. Vous aurez tendance à répandre des poudres, à utiliser un aspirateur vapeur ou à opter pour du vinaigre blanc, mais malheureusement, l’efficacité n’est pas forcément celle attendue. Un traitement des punaises de lit à Marseille doit être réalisé par un professionnel qui prend ainsi toutes les précautions nécessaires.
- Il peut rapidement identifier le nid de ces punaises, car elles ont tendance à loger dans une zone précise.
- Il est en mesure de pointer du doigt les problèmes au sein de votre logement qui favorise leur prolifération comme l’humidité.
- Les produits utilisés ne sont pas disponibles dans les magasins de bricolage par exemple, l’efficacité est donc beaucoup plus élevée.
- Cet insecte qui mesure 8 mm au maximum se trouve surtout dans votre chambre.
Parmi les méthodes utilisées, il y a par exemple la dispersion d’un gaz, l’utilisation d’un insecticide ou encore d’un biocide. Toutes les précautions sont prises notamment si vous avez des enfants et des animaux de compagnie.
les punaises on en entends moins parler
ca va revenir d’un coup avec les JO