Le travail le dimanche fait couler beaucoup d’encre en France, avec d’un côté ceux qui sont pour et de l’autre les opposés à ce fonctionnement. Paris a décidé de sortir dans la rue pour partager le mécontentement des salariés.

Travail le dimanche / Crédit Photo : Pixabay – fancycrave1

Macron a décidé de changer les habitudes des Français et comme c’est le cas dans ce genre de situation, les mécontents sont au rendez-vous. Le chef de l’État a fait le choix d’instaurer le travail le dimanche, ce qui pourrait s’avérer être une opportunité pour de nombreux citoyens qui aimeraient gagner un peu plus d’argent. Cela a donc été intégré à la loi Macron, mais elle ne fait pas l’unanimité notamment à Paris.

Le travail le dimanche et la nuit ne rassemble pas tous les Français

Les Français sont attachés à leurs habitudes et ils souhaitent faire la grasse matinée le dimanche. Il y a plusieurs siècles, le dimanche ne pouvait pas être une journée travaillée à cause de la religion. Il s’agit du repos dédié à la messe, mais les coutumes ont évolué notamment lorsque le marché du travail est complexe. Des Français ne seraient donc pas contre de travailler la nuit et le dimanche, mais des salariés ont décidé de battre le pavé à Paris pour partager leur mécontentement et tenter de convaincre le gouvernement de faire une marche arrière avec la loi Macron.

La loi Macron accorde 52 dimanches par an aux commerces des ZTI

Certains commerces ont l’autorisation d’ouvrir le dimanche notamment à l’approche des fêtes de fin d’année et ce procédé serait ainsi prolongé, mais les manifestants ne sont pas d’accord. Les ouvertures dominicales seraient plus importantes, car le projet concerne aussi les zones touristiques liées aux visiteurs internationaux. Dans le cadre de la loi Macron, ces commerces seront en mesure d’ouvrir leurs portes 52 dimanches par an et jusqu’à minuit. Cela pourrait redynamiser le marché du travail et permettre à certains de trouver un emploi. En France, il est toutefois difficile d’instaurer de nouvelles règles, car il y a toujours des mécontents.