Préparez-vous à une »journée noire » le 18 septembre : impacts sur les transports, l’éducation et l’énergie
Alors que la rentrée sociale continue de secouer la France, une nouvelle journée de mobilisation se profile pour le 18 septembre, avec des impacts potentiellement considérables sur de nombreux secteurs essentiels tels que les transports, l’éducation et l’énergie. La crainte d’une nouvelle « journée noire » gridant le pays alimente l’inquiétude des usagers et des professionnels, surtout à l’approche de cette date où plusieurs grands syndicats et organisations ont appelé à la grève. La dernière mobilisation, qui a déjà secoué la nation le 10 septembre, n’était qu’un aperçu de ce qui nous attend. La composante politique, avec la nomination de Sébastien Lecornu comme Premier ministre, n’a pas réellement apaisé la colère. Au contraire, l’écho des revendications sociales se fait entendre plus fort, avec des demandes claires : justice fiscale, abrogation de la réforme des retraites, augmentation des salaires, et surtout, une réponse claire aux politiques de réduction des moyens dans l’éducation ou l’énergie. Les prévisions indiquent que cette journée risque d’être particulièrement disruptive, ce qui pousse à une préparation minutieuse pour éviter l’effet surprise.
| Secteur | Préoccupation principale | Impact prévu |
|---|---|---|
| Transports (SNCF, RATP, Veolia Transport…) | Mobilisation massive des syndicats, dégradation du service, retards importants | Perturbations dans les trajets quotidiens, retards, annulations de trains et bus |
| Éducation nationale | Surcharge des professeurs, écoles sous pression, absence de remplaçants | Annulation ou report des cours, classe surchargée, démotivation |
| Énergie (EDF, Enedis, TotalEnergies…) | Grève des employés, coupures ou réduction de production | Pénurie d’énergie, coupures d’électricité, impact sur les grandes industries |
quelles perturbations dans les transports en ce 18 septembre ?
Les records de mobilisation dans le secteur ferroviaire peuvent espérer battre leur propre record cette année. La CGT cheminots, l’Unsa, et la CFDT ont tous lancé un appel à la grève pour cette journée, anticipant une « journée noire » dans les déplacements. Selon le ministre des Transports, Philippe Tabarot, le risque principal réside dans l’incapacité d’assurer un service minimum efficace, surtout si des syndicats déposent leurs préavis tardivement. Autrement dit, il faudra s’attendre à des trains presque à l’arrêt, des bus saturés, et peut-être même la fermeture de certaines stations ou lignes, à l’image du chaos observé lors du mouvement « Bloquons tout » en septembre dernier. Si vous devez absolument vous déplacer, il serait prudent de prévoir des alternatives comme le covoiturage ou même le télétravail, pour ne pas perdre votre matinée dans les embouteillages ou à attendre un train qui ne viendra peut-être pas.
Impacts spécifiques dans les principales entreprises de mobilité
- SNCF : Trains à l’arrêt, retards, annulations
- RATP : RER et métro fortement perturbés, bus en nombre limité
- Keolis, Transdev : Fermeture partielle ou total de lignes, perturbation des services régulaires
Ces perturbations pourraient également s’étendre aux conditions de transport dans les zones périphériques ou rurales, rendant la mobilité encore plus compliquée pour ceux qui doivent se rendre au travail ou à l’école.
Une école en alerte : que prévoir pour les enseignants et élèves ?
Les syndicats du secteur éducatif se montrent très mobilisés, certains annonçant une participation massive, notamment suite aux mesures annoncées par le ministère de l’Éducation nationale concernant le budget 2026. La colère est palpable : classes surchargées, manque de personnels et conditions de travail dégradées, tout cela alimente le mécontentement. Les enseignants, épuisés et revendiquant des conditions décentes, invitent à faire preuve de vigilance. Le 18 septembre, l’établissement de leur mobilisation pourrait bien bouleverser la rentrée scolaire, avec la possible fermeture de plusieurs écoles ou la report de certains cours. Les parents, quant à eux, doivent envisager des solutions de repli, comme la garde à domicile ou la recherche d’une crèche alternative. La tension est palpable, mais cette journée pourrait aussi servir de révélateur aux dysfonctionnements qui perdurent dans le système éducatif.
Les revendications majeures des syndicats dans l’enseignement
- Augmentation des salaires
- Reversion du nombre d’élèves par classe
- Amélioration des conditions de travail
- Suppression des mesures d’austérité dans le budget scolaire
Le contexte est aussi à la revendication pour plus de moyens dans tous les établissements, face à un avenir qui s’annonce tendu dans les écoles françaises. Il ne faut pas oublier que la journée du 18 septembre coïncide aussi avec des négociations salariales dans le secteur de l’énergie, renforçant le caractère stratégique de cette grève. La mobilisation dans l’éducation ne doit pas être sous-estimée, car elle pourrait faire de ce jour un vrai point de bascule pour la politique éducative à venir.
Impacts énergétiques : la menace d’un blackout ce 18 septembre ?
Les perturbations dans le secteur de l’énergie, comme chez EDF, Enedis ou TotalEnergies, risquent de faire trembler la stabilité du réseau électrique national. La grève dans ces entreprises pourrait entraîner une baisse de la production ou des coupures, notamment dans certaines régions où la défection des personnels est particulièrement sensible. La crainte d’une « journée noire » dans le secteur énergétique est alimentée par la multiplication des revendications salariales et sociales, dans un contexte de tensions accrues sur la gestion des ressources et des coûts. Les autorités, notamment RTE, surveillent de très près ces mouvements, qui pourraient avoir des répercussions jusque dans la gestion quotidienne de l’énergie, avec des coupures ou des restrictions d’approvisionnement qui impacteraient la vie quotidienne, mais aussi le fonctionnement des grandes industries. D’ailleurs, ces impacts pourraient se voir de manière concrète dans la continuité ou la suspension des activités essentielles, comme celles de la SNCF ou de Veolia Transport, souvent dépendantes de la stabilité énergétique.
Que faire pour anticiper ce risque ?
- Suivre les annonces officielles des gestionnaires d’énergie comme RTE
- Préparer des plans d’urgence pour les entreprises et les particuliers
- Limitation de la consommation d’énergie pendant cette journée critique
- Respect des consignes en cas de coupure pour garantir la sécurité
Une journée de mobilisation qui pourrait changer la donne
Maintenant, la question est : à quoi faut-il s’attendre concrètement le jour J ? La multiplicité des secteurs concernés et la forte mobilisation des syndicats laissent présager un véritable défi logistique et humain. Selon la dernière note de stress social, cette journée pourrait, dans le pire des cas, entraîner une paralysie quasi totale de plusieurs activités vitales. La crainte est que les grands opérateurs comme TotalEnergies ou RTE seront impactés, tout comme la circulation chez Keolis ou Transdev. La coordination entre les différents acteurs est cruciale pour éviter un chaos total, d’où l’intérêt d’organiser dès maintenant des stratégies alternatives. Par ailleurs, il apparaît évident que cette journée prendra une dimension symbolique forte et pourrait bien marquer un tournant dans la façon dont la société envisage ses services publics et ses droits sociaux.
Les solutions pour se préparer efficacement
- Anticiper : Vérifier la disponibilité des moyens de transport alternatifs
- Organiser : Prévenir les employeurs et planifier à l’avance
- Communiquer : Rester informé via les médias et plateformes officielles
- Réagir : En cas de coupure, respecter les consignes de sécurité
Quelle attitude adopter face à cette journée de grève ?
Si vous faites partie des nombreux citoyens concernés par cette journée noire annoncée, il est utile de garder un œil attentif sur les actualités et de préparer des plans B. La grève du 18 septembre s’inscrit dans un contexte où les mots d’ordre syndical rejoignent souvent ceux des citoyens : résistance, réorganisation et revendication. Il ne faut pas voir cette journée comme une simple perturbation, mais comme un signal fort de la nécessité de repenser nos modes de fonctionnement collectifs. La participation à ces mobilisations pourrait faire évoluer la politique du gouvernement, notamment concernant la gestion économique, le financement des services publics, et l’avenir des grands opérateurs comme SNCF, Transdev ou Veolia Transport. Préparer la journée, c’est aussi mieux comprendre ses enjeux, pour agir en toute conscience.
Les questions que vous vous posez peut-être
- Comment se prémunir contre les perturbations des transports ?
- Quelles mesures prendre pour éviter l’angoisse liée à la coupure d’énergie ?
- Comment informer ses proches et collègues en cas d’impossibilité de déplacement ou de travail ?
- Quels sont les droits légaux en cas de grève dans ces secteurs ?



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