La grippe française a été mortelle durant cet hiver puisqu’une surmortalité record a été référencée après 11 400 morts.

La grippe

En France, la grippe a fait des ravages et l’alerte rouge avait même été lancée dans plusieurs régions. Cette surmortalité est éventuellement expliquée par le vaccin qui a été inefficace pour cette saison, car il ne correspondait pas à la souche visée. Cet épisode n’est toutefois pas terminé, car plusieurs maladies sont toujours diagnostiquées à l’approche du printemps. Par conséquent, la grippe ou encore la gastroentérite sont toujours présentes sur le sol français et une grande rigueur est demandée.

Les personnes les plus vulnérables touchées par la grippe

Pour la France, cette grippe devrait cesser de contaminer les patients prochainement, mais l’attention ne doit pas être relâchée. D’ici la semaine prochaine, le seuil épidémique devrait être terminé, mais cela n’est pas valable en Guyane ou encore dans les Antilles. Cette maladie est donc à l’origine d’un triste record pour cet hiver avec près de 11 400 décès et les personnes âgées ont été les plus touchées. Avec les enfants et les femmes enceintes, elles sont les plus vulnérables et les plus faibles face à cette grippe. Cette dernière a également été favorisée par le temps, car le mercure est grimpé assez haut au cours de l’hiver et le froid n’a pas tué toutes les bactéries.

Le triste record de cette grippe hivernale

Le froid est essentiel, car il a la capacité de purifier l’air et donc de tuer certains virus. Cela permet de limiter la propagation de la grippe. Cette dernière a donc été à l’origine d’une surmortalité puisque le taux de décès est supérieur aux prévisions qui s’articulaient autour de 19 %. Cet hiver a de ce fait été meurtrier et la situation a été bien plus critique que celle observée entre 2008/2009 et 2012/2013. À l’époque. Les chiffres de l’InVS sont donc inquiétants et les statistiques pourraient être plus importantes puisque l’épisode n’est pas terminé même si la fin est proche.