Des chercheurs ont décidé, à l’aide de l’imagerie d’observer les conséquences engendrées par le LSD. L’objectif de cette étude consiste à savoir s’il est possible d’obtenir un médicament. Il pourrait ainsi soigner la dépression ou encore les addictions.
Le LSD cause une hyperconnectivité dans le cerveau
Le diéthylamide de l’acide lysergique est davantage connu comme le LSD. C’est un psychotrope hallucinogène qui possède un pouvoir très important. L’étude britannique a même permis de constater ces effets, car, généralement alors que le réseau est indépendant, l’ingurgitation du LSD permet à toutes ces zones de fonctionner main dans la main. Les expertises via les techniques de l’imagerie ont permis de découvrir une connectivité très importante.
Ce dérivé d’alcaloïde pourrait traiter la dépression
Cela concerne aussi bien la vision que la vue ou d’autres fonctions. Dans la revue PNAS qui s’est chargée de partager cette enquête, nous apprenons que la région dédiée à la vue est la plus impactée par la prise du LSD. Ce cortex est de ce fait très sollicité, cela explique ainsi les hallucinations dont les utilisateurs sont victimes. Cette drogue a fait l’objet de plusieurs publications dans les années 50, car le monde médical s’est toujours intéressé à ces pilules. Au niveau de la chimie, il s’agit d’un dérivé d’alcaloïde, il peut être obtenu grâce à l’ergoline.
De précédentes études psychiatriques sur le LSD
La couleur du LSD apporte quelques informations sur sa « qualité ». Plus il est blanc, moins il sera dégradé. L’équipe de Robin Carhart-Harris qui a travaillé sur cette enquête au cours de laquelle les participants ont pris 75 microgrammes de LSD. Ils ont ainsi pu étudier la conscience d’un point de vue d’un phénomène biologique. En parallèle, les scientifiques aimeraient l’utiliser comme un outil thérapeutique, mais cette éventualité continue de faire grincer des dents. Ce n’est pas la première fois qu’un tel concept est envisagé, car, en 1938, un chimiste prénommé Albert Hofman donnait naissance à ce LSD étudié en psychiatrie.
0 commentaires