Clermont-Ferrand fait une nouvelle fois la Une des journaux pour une maltraitance d’enfants. Un bébé de 14 mois a été violenté régulièrement.

[/media-credit] Photo d’illustration d’un bébé

En évoquant Clermont-Ferrand, il est difficile de ne pas penser à Fiona qui a été maltraitée avant de trouver la mort l’année dernière dans des circonstances inexpliquées. Aujourd’hui, il s’agit d’un bébé de 14 mois qui a été violenté apparemment par son beau-père et sa mère. Cette histoire commence par un appel selon une information de La Montagne. L’homme tente de joindre les pompiers en précisant que la fillette a eu un problème lorsqu’elle mangeait une barre chocolatée. Au vu des circonstances, la petite fille est conduite à l’hôpital Estaing situé à Clermont-Ferrand.

Un enfant violenté plusieurs fois à Clermont-Ferrand

En auscultant le bébé de 14 mois qui devrait faire l’objet d’une mesure de placement, les médecins ont constaté que l’appel était justifié puisqu’il avait été victime d’une « fausse route ». Toutefois, en regardant avec attention son corps, plusieurs hématomes ont été référencés. Ces derniers auraient pu être expliqués par une chute, mais le journal précise qu’ils ne ressemblaient pas à ceux obtenus dans ce genre de situation. Les médecins ont donc réalisé un examen minutieux et c’est à cet instant qu’ils ont découvert plusieurs blessures comme des fractures. Ces dernières étaient problématiques puisque les os étaient réparés, mais aucun soin n’avait été apporté.

Ouverture d’une enquête à Clermont-Ferrand

Au final, ils ont même découvert que le bébé avait subi un traumatisme crânien. Sa vie n’est pas en danger, mais son état est selon le journal inquiétant. L’enfant a donc été violenté régulièrement et les forces de l’ordre ont interpellé le beau-père et la mère de l’enfant. Laissés libres, ils ont toutefois été mis en examen pour des violences habituelles sur un enfant âgé de moins de 15 ans. Les forces de l’ordre en charge de l’enquête doivent tenter d’éclaircir cette affaire notamment en ce qui concerne les violences.