À Nancy, un appel à témoins a été lancé après la fuite d’un violeur récidiviste. Le profil de Jean-Luc Moindrot est potentiellement dangereux.

[/media-credit] Violeur en fuite à Nancy
Plusieurs viols avec violence pour Jean-Luc Moindrot
Lorsque Jean-Luc Moindrot est sorti de prison en décembre dernier, il avait effectué une peine de 13 ans pour de nombreux viols avec violence notamment commis en 1991 et en 2001. Le parquet a souhaité préciser au micro de France TV Info qu’il ne s’agissait pas d’un aménagement de peine, mais bien d’une fin de peine. En effet, lors de sa condamnation à 20 ans de réclusion criminelle, il avait bénéficié d’une peine de sûreté de deux tiers. La surveillance judiciaire devait donc durer 45 mois et il avait également un suivi soutenu au vu de son profil potentiellement dangereux.
Le violeur de Nancy subissait des injections
De plus, Jean-Luc Moindrot devait subir des injections qui permettaient de restreindre sa libido. Cette méthode est utilisée en France et les chiffres montrent que 11 000 personnes portent un bracelet électronique. Pour l’instant, le violeur qui a pris la fuite depuis son domicile de Nancy n’a pas donné de signes de vie. Le parquet lance donc un appel à témoins et spécifie qu’il ne faut absolument pas agir, mais prévenir la police ou la gendarmerie. Pour information, cet homme âgé de 48 ans pèse 74 kg, il mesure 1.80 m et la photo ci-dessus a été transmise par la justice.
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