La greffe d’un pénis en Afrique du Sud a permis à un homme de retrouver toutes ses facultés à la fois reproductives et urinaires.
Photo d’illustration d’un bloc opératoire
Le monde de la Santé effectue de nombreux progrès et certaines actions d’aujourd’hui paraissaient impossibles il y a quelques décennies. En Afrique du Sud, des médecins aux mains précises et expertes ont réussi à greffer avec succès un pénis et cela a nécessité un don d’organe. Cette opération a été une première mondiale et elle demandé une concentration pendant 9 heures. Cette prouesse marque un véritable tournant dans le monde de la Santé alors que le patient avait été amputé à cause d’une circoncision problématique.
Une récupération plus rapide que prévu après la greffe de ce pénis
En effet, les hommes peuvent être victimes d’un cancer du pénis et des testicules, ce qui occasionne dans la majorité des cas un décès et de terribles souffrances. Après une amputation, la vie du patient pourrait être sauvée, car ces médecins ont prouvé que la greffe d’un pénis était tout à fait possible. Cela pourrait également redonner de l’espoir à tous les malades et notamment aux patients qui souffrent de troubles importants de l’érection. Cette greffe réalisée en Afrique du Sud ne serait proposée que dans les cas extrêmes, mais elle montre que le don de cet organe est envisageable. Les résultats n’ont pas été transmis immédiatement après l’opération qui a été organisée le 11 décembre dernier selon une précision de News24 qui transmet une vidéo de l’intervention chirurgicale.
La greffe du pénis redonne de l’espoir aux malades du cancer
Les médecins de l’hôpital Tygerberg ont attendu plusieurs mois avant d’évoquer la greffe du pénis d’un homme de 21 ans. Ce dernier aura l’occasion de retrouver une vie « normale » puisque l’opération lui a redonné ses fonctions urinaires et surtout reproductives. De ce fait, malgré la greffe, cet homme aura l’occasion d’avoir des enfants d’ici les prochaines années. Les médecins hospitaliers estimaient que le patient aurait pu retrouver ses compétences d’ici deux ans, mais en réalité la « guérison » a été beaucoup plus rapide.
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