À Nîmes, les policiers ont interpellé une jeune femme âgée de 27 ans. Cette dernière aurait violé sa voisine.

[/media-credit] Une vue du centre de Nîmes et des arènes
Incarcérée pour le viol supposé de la voisine
Le journal donne davantage de précision concernant cette agression subite par une jeune femme de 20 ans homosexuelle. Au départ, la suspecte s’était rendue à son domicile pour avoir une discussion, mais la situation aurait rapidement dégénéré. Les pénétrations digitales assez violentes n’étaient pas consenties selon le journal et l’alerte a été donnée par des amis de la plaignante.
La relation n’aurait pas été consentie
Un nouvel interrogatoire devrait être organisé dans les prochains jours selon l’avocat Me Julie-Gaëlle Bruyère. Cette dernière a précisé que sa cliente avait « peut-être été maladroite ». Selon sa déclaration, les deux jeunes femmes avaient passé « l’après-midi ensemble, elles se sont rapprochées et attirées mutuellement et ont eu une relation qui n’était pas forcée ». Elle a précisé que la « plaignante ne lui a pas dit de s’arrêter ». Une pénétration digitale est dans tous les cas considérée comme un viol lorsqu’elle n’est pas consentie. Selon une source judiciaire, les faits relèvent « théoriquement d’une cour d’assises ».