La catastrophe de Tchernobyl a eu des conséquences dans les Alpes françaises, car les sols présentent toujours une contamination malgré un fait datant de 30 ans. Le taux de radioactivité du Césium 137 est deux fois plus important que la normale.
Des mesures ont été réalisées pour tenter de savoir si Tchernobyl avait toujours un impact sur les Alpes françaises. De ce fait, les sols du Mercantour montrent une contamination des sols alors que la catastrophe nucléaire qui s’est déroulée en Ukraine date de 30 ans. Les appareils montrent des niveaux de radioactivité, mais il n’y aurait aucune conséquence pour la santé si des touristes venaient à fouler le sol des montagnes. La Criirad à l’origine d’une enquête révèle que le Césium 137 met en avant un taux qui aurait tendance à être deux fois plus important que la normale.
Le Mercantour est toujours contaminé par la catastrophe de Tchernobyl
Sur Internet, nombreux sont les internautes à se questionner sur la réalité des faits, car il a toujours été dit que le nuage avait contourné l’hexagone. Par conséquent, comment les sols français pourraient-ils être contaminés ? Il faut savoir que le sujet de Tchernobyl est houleux et en 1986 tout avait été mis en place pour que l’impact de la catastrophe soit minime aux yeux des Français. Le gouvernement insistait sur le fait qu’il n’y avait aucun danger pour la France. De ce fait, les experts précisaient que le nuage avait contourné notre pays.
La Criirad partage des données concernant la contamination des sols Alpins
Pourtant, un an après la catastrophe de Tchernobyl, la Criirad qui est aujourd’hui à l’origine de l’information concernant la contamination des sols du parc du Mercantour donnait l’alerte. Des Alpes Maritimes à la Drôme, des poches de contamination étaient donc référencées et c’est toujours le cas aujourd’hui notamment au Mercantour. Par conséquent, si le nuage a contourné la France, l’est du pays a été sérieusement touché et la Commission de recherche et d’information indépendante sur la radioactivité le montre une nouvelle fois dans une étude qui a été partagée le 31 juillet.
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