Une cape d’invisibilité a vu le jour aux États-Unis et elle s’inspire de celle vue dans Harry Potter lorsque le jeune garçon se faufile dans les couloirs de l’école à la recherche de réponses. Pour l’instant, les champs d’investigation sont limités.

La cape d’invisibilité d’Harry Potter

Parfois, la science-fiction inspire les scientifiques qui essayent de mettre au point des objets découverts dans les films. Ces derniers ont toujours une grande longueur d’avance, car Harry Potter proposait déjà une cape d’invisibilité. Cette fois, ce sont les États-Unis qui sont à l’origine de ce projet, mais l’utilisation n’est pas celle relayée dans les studios hollywoodiens. En effet, nous sommes encore loin de faire disparaître des objets ou des humains.

Comme Harry Potter, les USA possèdent une mini cape d’invisibilité

La cape d’invisibilité n’est donc pas celle visible dans Harry Potter, car elle est microscopique. Elle fait 80 nanomètres et c’est le Lawrence Berkeley National Laboratory qui est à l’origine de la création. Cette dernière a fait l’objet d’une publication dans la revue Science et nombreux sont les internautes qui se questionnent sur son utilité. La cape d’invisibilité aurait pourtant une importance élevée dans le monde de l’armée, car elle permettrait aux soldats d’optimiser leur tenue de camouflage. En ce qui concerne la fabrication, elle est très pointilleuse.

La conception d’une cape d’invisibilité sur des éléments d’or

Cette cape d’invisibilité repose sur des éléments d’or. Ces derniers ont la capacité d’agir comme des nano-antennes, ils sont de ce fait en mesure de rediriger la lumière et donc de rendre un objet totalement indétectable. Les premiers essais se sont soldés par une réussite, car les scientifiques ont pu faire disparaitre quelques cellules. Lorsque la dimension sera plus conséquente, l’utilisation d’un tel concept devrait rencontrer un réel succès que ce soit dans l’armée ou le domaine de la médecine. La Science continue de faire des progrès comme ce fut le cas avec la création des spermatozoïdes in vitro.