Un robot a été développé par des chercheurs parisiens et il est assez atypique, car même endommagé, il peut continuer de marcher.
Photo d’illustration d’un robot / Crédit Photo : Pixabay – Ramdlon
Le robot aura sans doute la capacité de remplacer l’Homme dans plusieurs années notamment dans les zones dites dangereuses ou périlleuses. La robotique serait idéale pour des conflits, des sauvetages dans des lieux où les militaires et les secours ne peuvent accéder. Toutefois, contrairement à des humains, les robots ont une sérieuse défaillance, car dès qu’ils sont touchés, ils sont dans l’incapacité de continuer leur mission et des chercheurs parisiens de l’Université Pierre et Marie Curie ont voulu changer la donne.
Un logiciel aide le robot à développer son adaptation
Au départ, la mission était périlleuse, car le robot devait apprendre à gérer une situation malgré une panne. Par conséquent, comme ils le révèlent dans la revue Nature, ils ont eu l’idée de mettre au point un algorithme capable d’aider le robot puisqu’il peut ainsi s’adapter et trouver une solution pour continuer à avancer malgré une défaillance. De ce fait, le monde de la robotique commence à ressembler davantage aux Hommes et c’est trouvaille pourrait être très sympathique pour diverses missions et même dans l’exploration des planètes. En effet, Curiosity a toujours mis en standby sa mission lorsqu’il subissait une panne.
Un robot intelligent qui s’adapte aux situations
Avec une telle technologie, le robot serait capable d’étudier la situation et de s’adapter en fonction de la gravité de la panne. Cela peut paraître digne d’un film de science-fiction, mais les chercheurs de l’Université Pierre et Marie Curie ont réellement trouvé un fonctionnement intéressant. Par contre, le robot ne sera pas capable de se réparer, cette étape sera peut-être un jour réalisable, mais pour l’instant, ce spécimen est équipé d’une adaptation non négligeable. Par conséquent, Paris a trouvé un robot susceptible de continuer une mission malgré les blessures et les dégradations, mais l’ampleur de ces dernières ne doit toutefois pas être très grave.
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