Chargement en cours

Courir quelques minutes chaque jour : l’épuisement est inutile

Courir quelques minutes chaque jour est suffisant et il est inutile de s’épuiser. Cette information devrait combler les attentes de nombreuses personnes.

Courir-quelques-minutes-par-jour Courir quelques minutes chaque jour : l’épuisement est inutile
[/media-credit] Courir quelques minutes par jour
Le sport est bénéfique pour la santé, mais généralement les personnes qui souhaitent courir tout en perdant du poids doivent pratiquer plus de 30 minutes. Certains adeptes de la pratique estiment qu’en dessous de ce quota, l’organisme ne brûle pas de calories. Or, une activité sportive s’avère être intéressante même si elle est pratiquée quelques minutes par jour. Tous ceux qui ont été découragés par les idées reçues pourraient être comblés par les résultats d’une nouvelle étude. Ces derniers montrent que le fait de courir quelques minutes quotidiennement est aussi bénéfique qu’un jogging intense et long.

Courir 5 voire 10 min pour être en forme

En effet, pour qu’un sport soit bénéfique pour la santé, il est conseillé de privilégier la qualité et non la quantité. Par conséquent, l’Université de l’Iowa s’est penchée sur les vertus de la course en tentant de connaitre l’impact sur la santé. Les auteurs ont eu l’occasion de constater qu’il suffit de courir 5 voire 10 minutes par jour pour observer une réduction importante des maladies cardio-vasculaires. Si toutefois la course n’est vraiment pas attractive pour certaines personnes, elles peuvent miser sur une marche d’un quart d’heure. Cette dernière met en avant des bénéfices aussi importants que la course de 5 minutes.

Inutile de courir pendant des heures pour se sentir en forme

Il est donc inutile de s’épuiser quotidiennement puisque des bienfaits sont également observés avec quelques minutes de pratique. Cela pourrait s’avérer motivant pour ceux qui n’aiment pas courir et en augmentant la durée au fil des séances, il est possible de constater une large progression. Pour obtenir les conclusions, près de 55 000 adultes ont été suivis pendant 15 ans. L’étude a donc montré que les personnes présentaient un risque de mortalité moins élevé que ceux qui ne pratiquaient pas même si la vitesse était réduite et si la distance par semaine était en dessous de 10 km.

Laisser un commentaire