L’immunothérapie est pour le cancer en général une solution efficace qui donne un véritable espoir à tous les malades qui souffrent.
Grâce à l’immunothérapie, la victoire contre le cancer semble prendre de l’ampleur, mais la guérison serait encore plus impressionnante, car la solution serait efficace pour d’autres maladies de ce genre. Les scientifiques se sont réunis lors de l’ASCO (American Society of Clinical Oncology) et ils ont partagé avec joie les résultats de ce traitement. Ce dernier est déjà utilisé et son prolongement à d’autres cancers est envisagé au vu des résultats enthousiasmants qui sont enregistrés. Pour rappel, il consiste à proposer aux patients des substances qui ont pour objectif de stimuler l’organisme et surtout les défenses immunitaires.
Des tests montrent l’efficacité de l’immunothérapie contre le cancer
L’immunothérapie est déjà utilisée pour traiter le cancer de la peau, mais le corps médical opte pour ce traitement notamment pour les maladies liées au système ou au cerveau notamment lorsque la personne souffre de démence. Les premiers essais sont datés des années 70 et depuis la science n’a cessé de progresser comme le mentionne l’ASCO dans Forbes. Lors de cette conférence, les spécialistes ont insisté sur le fait que les effets engendrés par l’immunothérapie avaient la possibilité d’être plus intéressants que ceux référencés au niveau de la chimiothérapie qui reste un traitement très lourd et contraignant.
L’immunothérapie est une stratégie physiologique contre le cancer
De plus, les scientifiques ont eu l’occasion de constater que par rapport aux traitements conventionnels, l’immunothérapie pouvait s’attaquer à des maladies qui restaient jusqu’à maintenant intraitables. Lors de l’ASCO, des résultats ont été partagés pour appuyer cette thèse et un essai clinique a été dévoilé. Avec l’immunothérapie, les professionnels ont référencé une réduction de 30 % de la tumeur dans le cadre d’un cancer du foie. Pour Alain Ducardonnet interrogé par BFMTV, ce traitement est « une stratégie physiologique » et des essais sur les ovaires, la vessie et les cancers ORL vont être réalisés. Il précise également que la France a reçu une autorisation en 2015 dans un cadre spécial, mais pour l’instant, seuls deux traitements sont autorisés et seulement aux USA.
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