Les voitures autonomes devraient révolutionner le secteur de l’automobile dans les prochaines années et ce sont de belles promesses qui sont faites. En effet, le marché devrait peser très lourd, aux alentours de 500 milliards d’euros.
Peu de personnes auraient cru il y a plusieurs décennies que les voitures évolueraient autant. Le secteur a connu un véritable chamboulement, car nous sommes désormais très loin des tractions. Toutefois, il y a encore de belles promesses, car les voitures autonomies pourraient s’installer davantage dans les prochaines années, même si le pari est complexe. Le cabinet AT Kearney révèle que le marché devrait peser près de 500 milliards d’euros d’ici 2035.
Les voitures autonomes devraient séduire de plus en plus d’ici 2035
Tous les constructeurs qui s’investissent dans ce domaine sont confrontés à de sérieux problèmes, car les voitures autonomes posent un souci de confiance. En France, le Code de la route ne permet pas d’accueillir de telles voitures, car un conducteur doit réaliser toutes les manœuvres, ce qui n’est pas le cas dans ces nouveaux véhicules. Ces derniers, comme la Google Car, ont la particularité d’évoluer seuls en percevant le danger et les différentes signalisations. Le conducteur devient donc un passager, mais il pourrait reprendre le contrôle si un problème est observé. Dans ce secteur, les constructeurs doivent inventer un nouveau modèle et ils ne peuvent pas se baser sur une référence.
Des équipements conséquents pour les voitures autonomes de demain
Les voitures autonomes seront dans tous les cas au rendez-vous dans les 20 prochaines années, mais cela demandera des efforts, car l’environnement n’est pas adapté. Pour qu’elles perçoivent un danger ou les panneaux de signalisation, elles doivent recevoir des informations via des capteurs. Ces derniers sont donc installés sur les routes qui sont pour l’instant dépourvues de tels équipements. Toutefois, ce secteur offrira une multitude d’opportunités pour les développeurs, car les voitures autonomes seront ultra-connectées, elles auront donc des applications et des systèmes performants selon CCFA.
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