Les faits se sont déroulés le 10 août dernier, quinze garçons âgés de 7 à 15 ans ont violé une ânesse dans la région de Sid Al Kamel au Maroc. Les adolescents ont été hospitalisés d’urgence afin d’être traités contre la rage, l’animal qui a subi ces actes odieux leur a transmis la maladie. Les autorités locales se sont rendues chez le propriétaire de l’animal afin de l’abattre pour éviter toute propagation.
Les actes de zoophilie existent depuis très longtemps dans ce pays
Dans la plupart des pays, les activités zoophiles sont interdites au vu des lois de cruauté envers les animaux. Bien qu’actuellement elle reste peu pratiquée, il existe plusieurs sociétés dans lesquelles cette activité avec les animaux est culturellement acceptée. Dans le domaine de la psychologie, la zoophilie est considérée comme un trouble mental. Il existe des croyances spirituelles où l’âme se réincarne dans des formes humaines ou animales, dans ce cadre précis, la zoophilie n’est alors qu’une apparence. Dans certaines religions, les relations sexuelles avec des animaux sont même punies de mort. Les chrétiens considèrent la zoophilie comme immorale, l’Islam l’interdit. Les relations sexuelles avec les animaux exposent les êtres humains à des risques sanitaires plus ou moins graves (allergies, infections, la rage….)
Ces actes montrent à quel point l’être humain peut se montrer pervers
Un des auteurs de ce viol a pu rapporter qu’ils avaient commis cet acte seulement par ennui, s’ils avaient eu un endroit digne de ce nom pour s’amuser, ils n’auraient pas abuser de l’ânesse. Peut-on réellement croire que seul le désœuvrement peut conduire à de tels actes odieux envers un animal ? Le viol reste un acte atroce. Les autorités ont cherché toutes les personnes ayant été en contact avec l’animal afin de limiter la propagation de la maladie. Selon H24Info, le nombre d’infections serait plus important, en effet, certaines familles auraient emmené leurs enfants vers des hôpitaux en dehors de la région afin d’éviter les railleries. Rappelons que la rage peut provoquer le décès deux à dix jours après les premiers symptômes.
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