En Haute-Loire, un troupeau de brebis a été sauvagement attaqué. Cette attaque de loups a été un véritable carnage.
Cinq brebis sont mortes et une a été complètement dévorée lors de cette attaque de loups survenue en Haute-Loire. Un éleveur, Aurélien Teyssier reste surpris par ce carnage selon la Montagne puisqu’il précise qu’il a « été averti par le président de chasse qui avait été prévenu par un chasseur qui avait découvert le troupeau ». L’éleveur a constaté que 15 de ses bêtes destinées à la reproduction ont été attaquées par plusieurs animaux surement au cours de la nuit.
En Haute-Loire, une attaque de loups référencée
Certaines blessées sérieusement pourraient ne pas être sauvées selon le propriétaire d’un cheptel de 550 bêtes situé à 1000 mètres d’altitude. Il a subi une attaque de loups pour la première fois et la piste des chiens errants et autres prédateurs est ouverte. Celle des loups n’est pas écartée et Aurélien note qu’il n’est pas contre ces animaux. Selon lui, c’est bien de les protéger, car c’est une espère en voie de disparition, mais il voudrait « que l’on puisse aussi réguler les populations ». Toutes les années, des troupeaux sont attaqués et partiellement détruits. Les analyses découvriront quel animal se cache derrière ce carnage.
Il est autorisé à venger son troupeau
Des critères très pointilleux sont mis en œuvre pour prouver la responsabilité de ces meutes souvent mal aimées. En parallèle, dans les Alpes-de-Haute-Provence, un éleveur touché par une attaque de loups a décidé de se venger en abattant une louve qui se trouvait à proximité de son troupeau. Comme onze de ses bêtes avaient été tuées, il avait eu l’autorisation par la préfecture de tirer. L’association Ferus est en colère, car 23 loups ont été tués légalement en France depuis 10 ans. Des bergers ont abattu cette année deux loups et trois ont été tués lors d’une collision.
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