Une accro aux jeux d’argent pointe du doigt son médecin, car elle le tient responsable de la situation. Il aurait été le déclencheur.
Être accro aux jeux d’argent, c’est comme avoir une addiction à l’alcool, à la drogue ou à d’autres éléments comme les jeux vidéo. Il est donc très difficile de résister à cette dépendance et certaines personnes détruisent leur vie et perdent toutes leurs économies. Dans cette affaire, une femme a été victime de cette addiction et elle tient son médecin comme responsable. Elle a donc décidé de porter ce dossier devant la justice française et le tribunal de Rouen doit rendre son verdict.
Une accro aux jeux d’argent se retrouve dans une situation complexe
Cette femme demande une compensation financière, car cette dépendance a causé de lourdes pertes financières puisqu’elle a une dette de 184 000 euros selon une précision du Figaro. Cette accro aux jeux d’argent estime que son médecin, un neurologue lui a prescrit un médicament et la dose était trop importante. Cette dernière serait ainsi à l’origine de cette dépendance jugée très forte par la victime. Selon les informations transmises, la victime a commencé en avril 2008 à prendre du Sifrol, car elle souffrait un tremblement des jambes. Toutefois, un an après le début de ce traitement, la dépendance aux jeux d’argent aurait commencé.
Une dose trop forte serait à l’origine de cette addiction
Le médecin pointé du doigt aurait donc administré une dose de 0.70 mg par jour alors que le maximum est de 0.54 mg. Cette accro aux jeux d’argent redouble d’effort pour assouvir cette dépendance notamment en dérobant de l’argent à son entourage et au fil des semaines, les dettes se sont accumulées. Trois ans après le début du traitement, cette femme a eu des pensées noires et elle a tenté de mettre fin à ses jours. La justice doit désormais rendre son verdict et il faut noter que la notice du Sifrol met en avant un trouble du comportement indésirable comme effet secondaire.
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