L’adultère serait héréditaire. Il existerait donc des gènes spécifiques pour l’infidélité qui se transmettrait d’une génération à une autre.
Les scientifiques tentent de trouver une explication à l’adultère et la solution pourrait se trouver du côté des gènes. Ces derniers auraient donc la possibilité d’influencer le comportement sexuel des hommes et des femmes. Ce constat a été effectué grâce à une étude qui mérite toutefois des recherches approfondies supplémentaires selon les auteurs. L’Université de Queensland en Australie a donc étudié les gènes de plusieurs jumeaux âgés de 18 à 49 ans. 7300 cobayes ont donc accepté de participer à cette enquête dans le but d’expliquer la source de l’adultère.
Le gène AVPRIA expliquerait l’adultère
Au cours de cette étude, les auteurs ont constaté que 6.4 % des femmes avaient eu une relation infidèle contre 10 % pour les hommes. L’adultère serait expliqué par le gène AVPRIA. Il faut noter que les nouvelles technologies n’ont pas arrangé les histoires de couple, car il est aujourd’hui plus facile de tromper son conjoint. En effet, les hommes et les femmes ne sont plus contraints de sortir en douce pour rencontrer d’autres personnes. Les sites de rencontres se sont multipliés sur la toile et certains se sont même spécialisés dans l’adultère.
Le gène de l’adultère impliqué dans les relations sociales
Un homme ou une femme peut ainsi rentrer en contact avec une autre personne sans bouger de son domicile en communiquant sur les sites, les forums ou les réseaux sociaux. Ils auraient ainsi une excuse pour justifier une relation infidèle, car selon le Telegraph, le gène de l’adultère serait transmis par les parents. En parallèle, les scientifiques ont constaté que le gène pouvait même rendre les femmes plus susceptibles de commettre l’irréparable. Les auteurs de l’étude ont enfin constaté que ce gène incriminé était à l’origine d’une hormone (arginine vasopressine). Cette dernière est impliquée dans le comportement social des individus.
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