Les attentats de Paris sont au cœur d’une vaste enquête et de nouvelles données ont pu être partagées. Celles-ci ont pu être rassemblées grâce à la découverte d’un téléphone et notamment d’un texto.
Aux abords du Bataclan, les attentats de Paris ont déjà commencé. L’un des assaillants se débarrasse d’un mobile avec un texto envoyé à 21h42 « on est parti, on commence ». C’est le départ d’un carnage orchestré dans cette salle de spectacle remplie pour le concert de rock. Pendant ce temps, une personne en Belgique reçoit le SMS avec une ligne téléphonique qui a régulièrement communiqué avec le mobile retrouvé par les forces de l’ordre.
Un homme en Belgique communique avec les terroristes à Paris
En parallèle, une autre ligne est active et permet à Abaaoud de communiquer selon le Monde. Cet homme décédé dans l’assaut du Saint-Denis était le conducteur de la voiture qui a été utilisée pour les attentats en terrasses. Les communications sont tracées au même endroit où le précédent texto a été envoyé. Les forces de l’ordre ont ainsi pu constater que les attentats de Paris du 13 novembre ont été orchestrés depuis la Belgique et en temps réel. Par conséquent, les terroristes communiquaient avec au moins une personne qui n’a pas fait l’objet d’une identification.
Avant les attentats de Paris, la recherche des plans du Bataclan
Le mobile retrouvé à proximité du Bataclan a été utilisé par deux des trois individus qui ont sévi dans cette salle parisienne. Le Smartphone a été utilisé pour des recherches notamment sur cet établissement. Le duo était à la recherche de plans et de clichés. Ils préparaient ainsi leur attaque et voulaient en apprendre davantage sur les configurations sans doute pour ne laisser aucune chance à des survivants. En parallèle, le mobile a aussi été utilisé pour des recherches sur le groupe de rock qui se produisait sur la scène du Bataclan.
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