Bergerac

est sous le choc après le décès d’un fonctionnaire de police âgé de 20 ans. Le jeune homme s’est donné la mort avec son arme.

Bergerac

À Bergerac, le commissariat de police est au centre d’une enquête. Cette dernière a été confiée à la police judiciaire après le décès d’un jeune homme âgé de 20 ans. Ce dernier avait rejoint ce commissariat en tant que fonctionnaire de police et plus précisément adjoint de sécurité au début de l’été. Pour des raisons encore inconnues, l’homme s’est retrouvé dans les toilettes du commissariat et il a mis fin à ses jours en utilisant son arme de service.

À Bergerac, les motifs du suicide ne seraient pas professionnels

Ce drame à Bergerac s’est déroulé le 3 octobre dernier et les causes du suicide ne sont pas définies. Toutefois, Laetitia Philippon, la directrice départementale de la sécurité publique a révélé que la profession ne serait pas en cause dans ce décès. L’enquête pourra peut-être apporter des réponses et il faut noter que ce suicide s’ajoute à la longue liste. En effet, le secteur de la police est touché par ce genre de décès et il y a quelques jours, c’est un policier de 40 ans qui s’était donné la mort en Seine-et-Marne au commissariat de Meaux.

Un nouveau suicide référencé à Bergerac

Ce quadragénaire s’était suicidé dans les vestiaires et son corps sans vie avait été retrouvé par ses collègues. Depuis quelques semaines, des policiers se suicident et pour ces cas, les motifs professionnels semblaient expliquer la cause de cet acte. Ce qui ne serait pas le cas pour cet adjoint de sécurité de Bergerac. Pour les autres suicides, le responsable zonal du syndicat Alliance, Jean-Marie Allemand avait révélé selon une précision d’Europe 1 que les policiers ont parfois tendance à saturer. Par conséquent, cela se traduit par des demandes de mutation qui « sont trois à quatre fois plus nombreuses qu’avant ».