Les cacahuètes ont le pouvoir de réduire la mortalité et notamment les pathologies cardiovasculaires. Les bienfaits sont nombreux.
Les cacahuètes peuvent être à l’origine d’une forte allergie chez certains consommateurs, mais ceux qui ont la chance de pouvoir les consommer bénéficient de nombreux bienfaits. Une étude a révélé que le taux de mortalité serait réduit grâce à une consommation régulière. Les statistiques partagées sont assez explicites puisque les décès liés à des pathologies cardiovasculaires seraient abaissés de 23/38 % et de 17/21 % en général. Il faut noter que cet aliment riche en graisse possède plusieurs vertus à la fois nutritives et énergétiques.
Un taux de mortalité réduit avec des cacahuètes
En effet, les cacahuètes sont bénéfiques pour réduire la fatigue ou encore le stress. Des précédentes études avaient précisé que l’arachide a des pouvoirs antioxydants, elle est donc bonne pour le cœur. Les scientifiques ont pu découvrir qu’elle réduisait le cholestérol sanguin et les enquêtes ont prouvé qu’une consommation régulière permettait d’améliorer les concentrations sanguines d’arginine, de cuivre ou encore de vitamine E et même de magnésium et de folate. Il faut également savoir que le gras présent dans les cacahuètes est considéré comme un bon gras qu’il est important d’intégrer dans une alimentation saine et équilibrée.
Des cacahuètes bonnes pour le cœur même en petite quantité
Cette nouvelle étude publiée dans le Journal of the American Medical Association démontre une nouvelle fois les bienfaits des cacahuètes pour la santé du cœur. Ces statistiques ont été obtenues grâce à la participation de plusieurs dizaines de milliers de personnes. Les auteurs de cette étude estiment que cette arachide est moins coûteuse que certains fruits à coque. Il serait donc assez facile, et cela pour un coût limité de réduire les maladies cardiovasculaires et donc le taux de mortalité en consommant régulièrement des cacahuètes et même en petite quantité. Les scientifiques émettent tout de même un petit bémol, car l’étude est épidémiologique, la réduction de la mortalité ne sera peut-être pas au rendez-vous chez tout le monde.
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