Le risque de développer un cancer du côlon peut être réduit selon une étude. Elle s’est attardée sur plusieurs formes de café comme le décaféiné ou l’instantané et même l’expression. La diminution du risque serait de 50%.
2 tasses quotidiennes de café pour réduire le risque de 26%
Généralement, les scientifiques mentionnent à maintes reprises le caractère nuisible du café. Une consommation importante et quotidienne peut avoir un impact non négligeable sur la santé. Pourtant, les amateurs de ces différentes tasses seront réjouis d’apprendre que l’effet inverse pourrait être au rendez-vous uniquement si les consommations sont raisonnables. Que ce soit pour les trois formes, le risque aurait tendance à être réduit de 26, voire de 50% pour 2 ou 2.5 tasses tous les jours. C’est un moyen de lutter contre le cancer du côlon qui se développe généralement de manière silencieuse.
D’autres analyses pour confirmer l’impact du café sur le cancer du côlon
Les symptômes sont parfois très discrets, ils ont tendance à être imperceptibles pendant longtemps. Cela rend ainsi le diagnostic d’un cancer colorectal assez complexe et renforce la nécessité d’effectuer des dépistages. Dans certains cas de figure, il est possible de constater la présence de saignements. Ces derniers devront faire l’objet d’une étude approfondie pour connaitre la cause, car, généralement, ils sont trop rapidement évalués comme une conséquence des hémorroïdes. En ce qui concerne cette enquête diffusée dans l’American Association for Cancer Research montre que c’est une piste à étudier, mais la prudence est de mise.
Le café présenterait plusieurs bienfaits pour la santé
En effet, la consommation de 2.5 tasses de café par jour pourrait être considérée comme une mesure préventive. Pour qu’elle soit parfaitement reconnue avec ce statut, il est sans aucun doute nécessaire de procéder à des analyses complémentaires pour conforter cette hypothèse. Ce n’est toutefois pas la première fois que des bienfaits sont attribués au café, il serait en mesure de lutter contre plusieurs maladies comme Parkinson ou encore le diabète de type 2. La précaution est de mise, l’avis d’un médecin reste essentiel. Comme c’est le cas pour chacune des études qui voient le jour, le professionnel de Santé sera le seul en mesure de vous informer.
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