Le cancer du col de l’utérus est un fléau qui peut être évité avec le vaccin qui ne fait pas toujours l’unanimité. Cette fois, une enquête a été réalisée, les conclusions sont rassurantes et mettent un terme à certaines idées.
Pour lutter contre le cancer du col de l’utérus, un vaccin a été mis au point. Il était préconisé aux jeunes filles qui n’avaient pas encore eu de rapports sexuels. Cette solution est apparue comme une méthode efficace pour se prémunir de cette maladie mortelle. Tous les ans, près de 1000 personnes perdent la vie à cause de ce « crabe ». Aujourd’hui, l’ANSM se veut rassurante par le biais de cette étude qui a été réalisée sur un large échantillon.
Un vaccin contre le cancer du col de l’utérus est plus bénéfique que risqué
Généralement, les conclusions de certaines études sont remises en question à cause du nombre de participants, mais ce n’est pas le cas dans cette affaire. Grâce à la collaboration de l’Assurance Maladie, 2 millions d’adolescentes ont été invitées à rejoindre cette étude qui s’interrogeait sur les risques occasionnés par le vaccin contre le cancer du col de l’utérus. Plusieurs idées mettaient en avant une responsabilité dans le développement de maladies auto-immunes ou encore la sclérose en plaques. Une réponse est apportée et elle est positive, car par rapport aux effets néfastes, les bénéfices sont beaucoup plus nombreux.
Se prémunir d’un cancer et des infections à papillomavirus
Ce vaccin lutte contre les infections à papillomavirus et plusieurs désagréments peuvent être occasionnés. Les jeunes filles et les femmes peuvent être victimes de verrues génitales ou encore de lésions qui laissent présager un cancer du col de l’utérus. La maladie peut aussi toucher d’autres parties de l’intimité comme le vagin ou la vulve. Désormais, deux vaccins sont sur le marché médical à savoir le Cervarix et le Gardasil qui sont respectivement proposés par GSK et Sanofi comme le précise le Parisien.
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