Le cancer du sein et dormir dans le noir total n’ont aucun point en commun. Pourtant, une étude a réussi à trouver un lien qui réduirait les risques.
Les risques de souffrir d’un cancer du sein seraient réduits grâce au fait de dormir dans le noir total. Le concept peut paraître assez atypique et pourtant cette méthode aurait de grands avantages. Certaines personnes ont depuis leur enfance une peur très prononcée du noir, elles ont donc tendance à dormir dans une chambre éclaircie parfois très lumineuse même si elles sont réveillées très tôt par le lever du soleil. Pourtant, dormir dans le noir le plus total comporte plusieurs avantages puisque cette méthode limiterait l’obésité.Le noir total optimise le traitement contre le cancer du sein
Ce lien peut paraître aussi insolite que celui avec le cancer du sein, mais les chercheurs ont montré que le sommeil avait une réelle importance dans la prise de poids. En effet, lorsque les nuits sont perturbées, les hormones sont également chamboulées, ce qui aurait ainsi un impact sur l’obésité. Par conséquent, pour avoir un sommeil réparateur, il est recommandé de dormir dans la pénombre, car les scientifiques ont référencé d’autres bienfaits. Ces chercheurs de l’Université de Tulane située aux États-Unis estiment que le traitement qui permet de lutter contre le cancer du sein serait optimisé grâce à cette pratique.
Lutter contre le cancer en dormant dans le noir total
Lors d’une expérience, ils ont constaté que l’effet de la molécule avait tendance à être annihilé lorsqu’une pointe de lumière est observée dans la chambre. Pour en arriver à cette conclusion, ils ont fait appel à des rongeurs qui ont subi différents cycles de lumière et d’obscurité. À la fin de cette enquête, les cellules cancéreuses présentes chez les rongeurs qui avaient été exposées à la lumière étaient devenues résistantes au traitement. Cela pourrait donc s’expliquer par la mélatonine qui est l’hormone du sommeil. Cette dernière avait été au cœur d’une seconde enquête qui montrait que lorsqu’elle était perturbée, les femmes étaient confrontées à un risque deux fois plus élevé de souffrir d’un cancer du sein.
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