À Clermont-Ferrand, un conseiller municipal est au cœur d’une affaire de viol. Le dossier a été ouvert à la suite d’une plainte déposée par la victime. Cet homme politique se trouvait en garde à vue depuis jeudi matin.
Un juge d’instruction de Clermont-Ferrand a décidé de remettre en liberté le conseiller municipal. Ce dernier n’est toutefois pas sorti de cette affaire, car sa mise en examen a été prononcée au parquet. Par conséquent, il bénéficie d’un contrôle judiciaire et il a sans doute l’interdiction de rentrer en contact avec la victime qui est à l’origine de la plainte.
A Clermont-Ferrand, le parquet prononce la mise en examen d’un conseiller municipal
Elle a été déposée dans la soirée de mercredi à la suite d’un viol selon la plaignante. Les faits se seraient déroulés le même jour et le commissariat de Clermont-Ferrand aurait ainsi enregistré la plainte. Cela a conduit à la convocation de cet élu membre des Républicains dirigés par Nicolas Sarkozy qui a été la risée du Web à cause d’une phrase incompréhensible prononcée lors de son meeting de Limoges. Pour l’instant, l’élu est présumé innocent, mais il a tout de même été placé en garde à vue dans la journée de jeudi avant de connaitre sa mise en examen dans cette affaire.
Ce membre des Républicains a été remis en liberté après sa garde à vue
C’est la sûreté départementale qui est en charge de ce dossier. C’est un conseiller municipal de Clermont-Ferrand, mais il est également un conseiller communautaire de Clermont selon La Montagne. Cet homme politique n’a pas toujours été affilié aux Républicains, car il était un membre du MNR de Bruno Mégret et il est même passé par la case Front National. Il s’était fait remarquer sur Internet le 10 octobre 2013 dans un message envoyé sur Twitter dans lequel il spécifiait que le vote FN, « c’est la victoire de la gauche et de l’extrême gauche ».
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