Disparition de Marie et Allison : révélations sur Francisco Benitez

par | 11 Juin 2023

La disparition d’Allison et de Marie-Josée Benitez n’a pas été résolue, des révélations ont été faites sur Francisco Benitez soupçonné dans cette affaire.

[media-credit name= »Photo Facebook » align= »alignnone » width= »450″]Disparition Allison et Marie José Benitez[/media-credit]Le 14 juillet dernier, Marie-Josée et Allison Benitez disparaissaient dans des circonstances mystérieuses. Quelques semaines plus tard, le père et mari Francisco était retrouvé mort à la caserne de Perpignan. Soupçonné dans cette affaire, il s’est retrouvé au cœur de cette enquête. Ioan Horghidan qui a servi sous ses ordres a fait quelques révélations dans un entretien accordé à Midi Libre. Lors des phases de combats, Francisco Benitez était « fragile psychologiquement, mais il se maitrisait ». Il explique qu’il avait toutefois un « déséquilibre relationnel » ce qui favorisait des crises de colère parfois « hors du contexte ». Ioan Horghidan dresse ainsi le profil d’un homme coléreux qui « n’aimait pas qu’on le regarde dans les yeux ».

Un accident à l’origine du drame chez les Benitez

Il précise qu’une blessure survenant de son enfance était sans doute à l’origine de ce comportement. Le stress serait également responsable de ce dernier et cette émotion aurait pu le pousser à commettre l’irréparable en 2004 lorsque Simone est signalée disparue. En ce qui concerne la disparition d’Allison et de Marie Josée Benitez, il précise que « le drame est lié à cette élection. Dans sa tête, il ne voulait pas que sa fille y participe. Cela le renvoyait au poids de ses échecs, à sa difficulté à supporter le regard des autres ». Ioan explique que « plus l’élection approchait, plus son angoisse augmentait ».

Il aurait avoué ses actes en se suicidant

Toutefois, le drame du 14 juillet serait expliqué par un accident, car dans le cas contraire il aurait utilisé son expérience et « il aurait fait autrement. Il serait parti en vacances avec elles, et revenu sans elles ». Ainsi, selon Ioan Horghidan il a eu ensuite près de 20 jours pour réfléchir et « faire disparaitre les corps […] Comme il ne pouvait pas reconnaitre ses actes, il l’a fait en se donnant la mort ». Cet homme était à ses côtés de 1994 à 1998 en tant que subordonné direct au 2e REI de Nîmes.

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Rédigé par Jade Bernard

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