Le don d’organes a augmenté depuis l’année dernière et les chiffres montrent que 2100 prélèvements ont pu être effectués.

[/media-credit] Bloc opératoire

Le don d’organes est important, car il a la possibilité de sauver des vies. Certains font le choix de leur vivant d’opter pour ce concept, ce qui permet au corps médical de prélever après la mort les organes nécessaires. Les refus sont donc de moins en moins nombreux, mais quelques réticences s’avèrent être référencées au sein des familles puisqu’un tiers ne souhaite pas que les organes d’un proche soient prélevés. L’Agence de la biomédecine a donc constaté dans son bilan que les donneurs étaient soit en mort cérébrale, soit en mort totale soit il s’agissait d’enfants.

Augmentation du don d’organes

Il faut toutefois noter que le don d’organes peut être réalisé de son vivant et notamment pour le rein comme le précise le site dédié. Selon les dernières statistiques, 13 % de greffes rénales ont été réalisées en 2013 grâce à des personnes vivantes. Cette greffe est également primordiale notamment chez les patients qui souffrent d’une insuffisance rénale terminale. Il s’agit du meilleur traitement et généralement le don est effectué au sein d’une famille. Même si une augmentation est observée, l’Agence constate qu’une pénurie est présente, car il y a un greffon pour 4.7 candidats.

420 dons d’organes effectués par une personne vivante en 2013

De manière générale, le taux du don d’organes augmente de 4 % et il atteint même 9.9 % chez les enfants. Par conséquent, en 2013, 2100 prélèvements ont été effectués. Dans certains cas de figure, le corps médical est dans l’incapacité de prendre les organes, mais la première source est proposée par le décès d’origine cardiovasculaire. Il y a tout de même une réelle avancée puisque le nombre de donneurs vivants est passé de 374 il y a 2 ans à 420 en 2013.