Les hommes et les femmes sont inégaux face aux conséquences des drogues. La gente féminine semble être davantage impactée, car leur cerveau se réduit au fil des consommations, mais cela n’est pas valable chez l’homme.
Les femmes selon une étude américaine réagiraient de façon différente quant à la prise de produits stupéfiants, les drogues endommageraient le cerveau chez les femmes, mais pas ceux des hommes.
Le cerveau des dames se réduirait à cause des drogues
Les femmes sont plus réceptives et plus sensibles à tous ces produits dits nocifs, ils seraient à long terme plus destructeurs, des dommages sur le foie, des maladies directement liées à l’abus des drogues se déclareraient en plus grand nombre chez les femmes, le cerveau ne fait pas exception à ces affirmations de santé. La revue « Radiology » informe les lecteurs des résultats de cette étude très intéressante pour le devenir de la médecine, les chercheurs ont essayé de mettre en évidence les différents effets que causeraient les drogues sur chacun des sexes, et ils ont découvert que les produits stupéfiants pouvaient réduire le cerveau des dames.
Le volume de la matière n’est pas impacté aussi vite chez les hommes
Les scientifiques ont procédé par imagerie du cerveau pour arriver à de telles conclusions, les femmes qui avaient eu à un moment de leurs vies une dépendance se retrouvaient aujourd’hui avec un volume de matière grise plus faible que celles en bonne santé. Les domaines qui sont touchés sont directement en relation avec la mémoire, les prises de décision et l’émotion. A contrario, les hommes avec les mêmes dépendances, les résultats d’IRM n’étaient pas autant touchés. Les femmes dans l’ensemble ont tendance a commencé les prises de cocaïne et d’amphétamines bien plus tôt et de ce fait elles ont plus de mal à se sevrer, la consommation de médicaments va très rapidement accroître pour palier au manque, une dépendance chasse l’autre.
Etudier les conséquences des drogues pour mieux les arrêter
Les scientifiques voudraient que cette étude soit le début de bien d’autres et que prochainement on puisse déterminer avec plus de précision les dépendances et les dégâts observés sur les deux sexes, des traitements plus appropriés pourront de ce fait être adaptés à chaque personne. La stimulation du cerveau peut faire barrage aux addictions, les activités intellectuelles stimulent le circuit de la récompense et cela améliore la résistance à tous ces produits nocifs.
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