L214 a encore frappé alors que le foie gras reste l’aliment préféré pour les fêtes de Noël. Les vidéos sont insoutenables, car elle reflète le calvaire vécu par les canetons. Ces derniers sont broyés, d’autres ont le bec coupé…

Dans quelques jours, le foie gras trônera sur les tables des Français et dans le monde entier, car ce met est apprécié en cette période festive. Toutefois, L214 souhaite que les consommateurs prennent conscience que des atrocités se déroulent dans des élevages et les produits sont parfois obtenus dans des conditions de maltraitance des animaux. Le 21 décembre dernier, l’association partage un nouvel article intitulé « Foie gras : dans l’enfer d’un couvoir ».

Un foie gras difficile à avaler avec de telles images

Deux enquêtes ont été réalisées dans le cadre de la production du foie gras et donc deux vidéos sont à la disposition du public, mais les images peuvent choquer. Les faits se déroulent dans les Pays de la Loire et ils sont intégrés dans la production du foie gras. Les images sont difficiles à regarder, car des canetons sont broyés et certains à la sortie de la machine sont toujours vivants. D’autres scènes montrent des becs qui sont mutilés alors que des canes vivent un calvaire lorsqu’elles sont inséminées de force.

L’enfer d’un couvoir dans les Pays de la Loire pour la fabrication du foie gras

Le foie gras qui sera dégusté dans quelques jours pour le Réveillon de Noël et celui de la Saint-Sylvestre aura donc un goût amer. Difficile de savoir si cette pratique se déroule dans tous les élevages ou si elle est intégrée uniquement dans l’établissement filmé. La porte-parole de L214, Brigitte Gothière révèle sur le site que 62% des Français ont conscience de ces atrocités et ils sont même 51% à estimer qu’il faut interdire le gavage. Certains se demanderont pourquoi les canetons sont-ils broyés ? Ce sont les femelles qui sont destinées à la broyeuse, car seuls les mâles sont intéressants pour la production du foie gras. Les vidéos sont à consulter sur le site de L214, mais attention, les images sont violentes.