À l’occasion de l’approche de la soirée d’Halloween, il est intéressant de se pencher sur les cauchemars les plus fréquents et leurs significations.
Pour Halloween, les déguisements se terminent, les maquillages se peaufinent, les enfants préparent leurs paniers… En parallèle, les neurochirurgiens ont fait de nombreux travaux sur le diagnostic des cauchemars et il en résulte deux types bien différents : ceux qui arrivent pendant le sommeil paradoxal et ceux qui surviennent pendant le sommeil lent et profond. Certains peuvent être tellement angoissants que le réveil se fait dans la terreur, la sueur et une accélération des battements du cœur est observée.
À Halloween, les peurs se multiplient
Selon Tobie Nathan, l’ethnopsychiatre, le cauchemar doit être interprété correctement, car il « permet de percevoir des vérités que nous sentons confusément, mais que nous ne voulons ou ne pouvons pas connaitre ». Selon La Montagne qui cite ses propos, l’interprétation montre les stratégies cachées des humains. De plus, pendant la période d’Halloween, les cauchemars ont tendance à se multiplier, car certains jouent avec la peur d’autrui, ce fut d’ailleurs le cas avec les clowns qui ont terrorisé le Nord-Pas-de-Calais. Certains psychologues démontrent que les cauchemars nous aident à mieux comprendre nos conflits et à régler nos émotions.
Pour Halloween, il pourrait y avoir 3 cauchemars
Ces rêves terrorisants restent tout de même un mystère et les étudier s’avère être très complexe. Trois grandes peurs envahissent les rêves les plus angoissants et la première concerne la paralysie. La personne est attaquée et se retrouve dans l’incapacité de se défendre. Il y a la chute dans le vide et dans ce cauchemar, le sol se rompt et la personne est confrontée au néant et selon les chercheurs, cela pourrait se traduire par un individu qui vous trahit. Il y a également la rencontre avec des personnes masquées et cela peut être synonyme d’une amitié trompée, d’un amour déçu ou d’un amoureux secret.
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