Hyperactivité : des conseils pour l’identifier plus vite

par | 11 Juin 2023

Pour l’hyperactivité chez l’enfant, il existe de nouveaux conseils qui permettent de détecter au plus vite ce problème.

Photo d'illustration

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L’hyperactivité est un problème, car le diagnostic est très complexe. Le corps médical n’est pas souvent du même avis et la division des médecins n’aide pas à établir que l’enfant est hyperactif. Rappelons que dans une étude précédente, on avait pu constater que les boissons énergisantes étaient en partie responsables de troubles de l’attention ainsi qu’une activité accrue chez les enfants. Ces derniers consommaient ces boissons dites énergisantes de plus en plus tôt. L’enfant qui présente des symptômes d’hyperactivité a des troubles de la perception, du langage, de la mémoire, la coordination des mouvements est confuse, ce qui entraîne des retards dans l’apprentissage.

Faire preuve de patience face à l’hyperactivité

Ces enfants touchés par l’hyperactivité sont souvent incapables de tenir en place, ils fatiguent leur entourage et s’épuisent, le problème qui se pose c’est quand faut-il s’inquiéter et consulter ? On peut répondre que cela dépend et que le mot idéal pour définir cette maladie c’est la tolérance que peut supporter l’autre. Les garçons sont plus touchés que les filles, l’hérédité est un facteur déterminant. Les enfants durant leur première année en général ont un sommeil très agité, ils pleurent sans cesse, crient, plus tard ils ont du mal à se canaliser, bougent beaucoup.

Traiter l’hyperactivité avant que les dégâts soient référencés

Pour aider à mieux comprendre cette hyperactivité et la dépister plus facilement, la Haute Autorité de la Santé (HAS) a dévoilé jeudi de nouvelles recommandations. Il faut que les médecins et l’école aient le déclic pour alerter, trop souvent l’enfant hyperactif est déclaré alors que le handicap a déjà perturbé sa vie scolaire, familiale et les retards d’apprentissage sont un frein à s’intégrer dans la vie sociale. On prescrit aisément de la Ritaline dans 10 % les cas les plus graves, mais des mesures psychologiques et sociales sont largement mieux adaptées pour l’enfant s’il est traité très tôt.

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Rédigé par Jade Bernard

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