Les hormones responsables du grignotage et de l’envie de gras
Une déficience hormonale pourrait expliquer la préférence des aliments gras. Les hormones seraient aussi à l’origine du grignotage qui est une source de prise de poids. Il est impératif de résister à toutes les tentations.
Des chercheurs américains ont réalisé une étude qui a été publiée dans la revue « Cell Report » et ils viennent de mettre en évidence et de conclure qu’une hormone favoriserait les impulsions à manger toujours davantage de produits gras. Comme les statistiques le démontrent, l’Amérique est confrontée à un problème d’obésité assez important, cela devient même assez préoccupant, Michele Obama combat cela avec vigueur, elle donne aux Américains des conseils pour rester en bonne santé et elle n’hésite pas à payer de sa personne pour encourager les jeunes à pratiquer du sport.
Une étude sur l’hormone et les conséquences de la récompense
Les thérapies visant à réduire ce problème récurant sont malheureusement rares, certains chercheurs emploient même le terme « d’épidémie ». La responsable de l’obésité, c’est la faim que l’on peut ressentir qui se transforme bien souvent en addiction, cela fait intervenir le circuit de la récompense au niveau du cerveau et cela entraînerait inévitablement un problème de surpoids.
Les scientifiques ont réalisé cette étude en pratiquant des tests sur des souris, ils ont activé l’hormone « Glucagon Like Peptide » et ils se sont aperçus que cela modifiait la communication entre les neurones et le circuit de la récompense, les souris de ce fait se dirigeaient bien moins vers les aliments gras, les chercheurs en sont pour l’instant au début des conclusions, mais c’est pour eux une perspective très motivante qui pourrait dans un avenir proche déboucher sur d’autres résultats en ce qui concerne des addictions comme la drogue, l’alcool et le tabagisme.
L’hormone Glucagon Like Peptide est responsable de certaines envies
Cette hormone peut réguler l’appétit et elle peut intervenir dans le fait d’arriver à satiété. Tout le monde n’a pas le même comportement face au grignotage. La découverte de la fonction de cette hormone et de son utilité pourrait faire naître dans un avenir prochain un traitement contre l’obésité qui rappelons entraîne bien des désagréments sur la santé.
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