Les maladies sont très diverses. La peau est l’enveloppe qui protège notre corps, elle est imperméable à tout ce qui vient de l’extérieur. C’est un organe important, c’est le plus visible de notre corps. Elle peut être soumise à de nombreuses agressions venue aussi de l’intérieur. Disgracieux, contagieux, irritants, les problèmes de peau, il est souvent très difficile de s’en débarrasser, acné, psoriasis, pelade, eczéma, mycoses, mélanomes, herpès, urticaire, verrues, angiome, zona… Les Français y sont exposés au moins une fois dans leur vie.
Le stress peut déclencher la manifestation de pathologies au niveau de la peau, voire les aggraver
Le stress est considéré depuis longtemps comme un facteur aggravant. Aujourd’hui dans notre société, il est malheureusement omniprésent. Certaines maladies de peau peuvent aussi générer un stress très important, diminuer gravement la qualité de vie. Plus l’affection est présente, plus les répercussions restent élevées. La peau est un organe qui participe à notre esthétisme, lorsque celui-ci est atteint, le social, le relationnel sont fragilisés, voire détruits. Gérer son stress, c’est également prévenir certaines pathologies de peau mais aujourd’hui, la vie ne nous donne parfois pas le choix.
Les adultes peuvent présenter des boutons d’acné, de nombreux facteurs favorisent son apparition au-delà de l’explication hormonale
Selon une étude publiée ce jeudi par la société Française de dermatologie relayée par le Parisien, près d’un Français sur trois âgé de plus de 15 ans souffrirait d’une maladie de peau. Sur les 16 millions de personnes concernées, plus de 80% cumuleraient deux affections dermatologiques. Plus de 40.000 Français ont été interrogés pour cette étude, plus de 20.000 ont une relation très compliqué avec l’acné, le psoriasis, les verrues, l’eczéma, la pelade… L’objectif de cette enquête : apprendre à connaître les problèmes de peau afin d’alerter les pouvoirs publics. Toutes ces pathologies procurent une souffrance pour plus de 54%, ils déclarent être anxieux, dépressifs. De nombreux clichés sont au rendez-vous, combien d’enfants par exemple ont été privés de piscine par peur de contagion ? Aujourd’hui, le handicap de la peau n’est pas reconnu comme le souligne le chef de projet de cette étude.
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