La maladie de Parkinson pourrait être soignée avec davantage de réussite grâce à cette découverte primordiale sur l’origine.

Un malade / Crédit Photo : Flickr – jonel hanopol
Dans le monde de la Science, les miracles ne se produisent pas. Les médecins doivent donc comprendre la maladie pour que le traitement développé soit une réussite. De ce fait, en obtenant des informations importantes sur l’origine d’un virus ou d’une pathologie, les médecins peuvent facilement créer des traitements pour retarder la progression ou supprimer la maladie. La revue Nature dévoile les travaux d’une équipe franco-belge et les résultats sont primordiaux pour la recherche. Dans la maladie de Parkinson, une protéine baptisée alpha-synucléine a un rôle essentiel, car elle est à l’origine des agrégats dans le cerveau.
Améliorer le diagnostic de la maladie de Parkinson grâce aux agrégats
Avec cette découverte majeure, les scientifiques pourraient en observant les agrégats savoir si la maladie de Parkinson se développera ou si ce sera l’atrophie multi-systématisée. Cette méthode aurait un autre atout et il se situerait autour du diagnostic de cette maladie, car de nombreux patients seraient diagnostiqués à tort. Ils ne seraient donc pas touchés par la maladie de Parkinson qui engendre des troubles très problématiques pour les patients. Cette maladie neurologique chronique entraîne une perte progressive des neurones, elle affecte donc le système nerveux central.
Bientôt une méthode pour diagnostiquer rapidement et efficacement
Généralement, la maladie de Parkinson est susceptible de débarquer entre 45 et 70 ans. Il est important de mieux la comprendre, car elle représente avec la maladie d’Alzheimer, les deux problèmes les plus épineux dans le monde de la médecine. Avec cette découverte importante, les scientifiques estiment que le diagnostic sera beaucoup plus simple à mettre en place, mais il faudra malheureusement faire preuve de patience. En effet, il faudra attendre plusieurs années avant qu’une méthode efficace et rapide soit diffusée à grande échelle. Dans tous les cas, la compréhension de l’origine de la maladie de Parkinson n’est pas anodine.