A Rennes, un homme a dérobé le placenta de sa femme qui venait d’accoucher. C’est un fait insolite et pourtant bien réel.
BébéLes urgences gynécologiques obstétriques de l’hôpital de Rennes ont été témoin d’une scène quelque peu étrange. Jeudi, dans la soirée, un homme a pris la poudre d’escampette avec le placenta de sa femme qui venait de donner naissance à un enfant. L’accouchement s’était déroulé sans problème et la femme avait subi une césarienne. Le lendemain de la naissance de son bébé, elle a demandé aux personnels de l’hôpital si elle pouvait récupérer le placenta, mais la réponse avait été négative, car premièrement la législation française ne permet pas cette pratique et les mamans ne peuvent pas récupérer ces tissus biologiques. Pourtant, les sages-femmes sous l’insistance de la maman ont cédé à sa demande « à des fins pédagogiques ».
Un placenta mangé pour ses vitamines
Le père de famille a prix le placenta de sa femme qui se trouvait dans une boite et il s’est enfuit de l’hôpital. Il a été interpellé au dehors par une patrouille de police, elle avait été alertée par le personnel de l’établissement. Mais vraisemblablement le mari n’était plus en possession du placenta, le journal Ouest France relate qu’un complice l’attendait à l’extérieur de l’hôpital. La direction du service de gynécologie a décidé de ne pas porter plainte, l’affaire en est restée là. Une question subsiste : que voulait faire le père et la mère de ce placenta ? Le manger peut-être, les États-Unis en ont donné l’exemple avec Kim Kardashian qui avait expérimenté cette pratique quelque peu étrange. Pour essayer de mieux comprendre ce geste, le placenta est plein de vitamines et il serait bénéfique pour les mamans qui se rétabliraient plus vite.
Des recettes à base de placenta
Des recettes ont donc vu le jour et il est possible de manger un placenta en l’agrémentant d’une sauce bolognaise ou en le préparant sous la forme d’une soupe ou d’un smoothie. Aux États-Unis, des livres ont vu le jour, ils ont peut-être donné des idées à cet homme.
0 commentaires