Les préservatifs sont au cœur de la protection, mais ils posent parfois de véritables problèmes. Les Ougandais se plaignent de la taille unique.
Les préservatifs peuvent être à l’origine d’allergies notamment à cause du latex, mais ils sont susceptibles de s’avérer problématiques notamment lorsque les tailles ne correspondent pas. Dans ce pays, la protection est toutefois primordiale, car le SIDA tue près de 80 000 personnes tous les ans. Depuis quelques années, ce chiffre a tendance à augmenter et les Ougandais demandent donc que la taille unique des capotes soit revue, car elle ne correspond pas à celle de leur sexe en érection.
Des préservatifs trop petits et une hausse de la contamination
Certains scientifiques et notamment des élus estiment que les préservatifs trop petits sont susceptibles de favoriser la propagation du virus du Sida. Cette information qui au départ peut paraitre amusante est en réalité dramatique. La commission parlementaire a donc rassemblé de nombreuses plaintes, car dans certaines régions, les organes sexuels ont tendance à être assez gros. L’un des députés a donc précisé que si la capote est trop petite, elle ne recouvre pas entièrement le membre et il y a un problème au niveau de la pression. Ainsi, lors des rapports sexuels, les préservatifs sont susceptibles « d’éclater ».
Des préservatifs adaptés à des organes sexuels plus gros
Les fabricants ainsi que les fournisseurs de capotes ont par conséquent été alertés. Les Ougandais souhaitent que les préservatifs soient adaptés à leur taille, ce qui pourrait réduire la propagation du virus si toutefois ce problème s’avère être responsable d’une telle augmentation de la contamination. Dans le monde, les tailles du pénis en érection sont multiples et le Congo s’avère être à la première place avec 17.93 cm. Les plus petits se trouvent en Corée du Nord et du Sud avec 9.66 cm et cela peut également s’avérer problématique, car dans ce cas de figure, les préservatifs sont trop grands.
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